Parce que Schwarzy, il pourrait te casser la gueule les yeux fermés, par temps de brouillard et à minuit du soir

Annotation :

Je crois ne pas avoir besoin de beaucoup le commenter dans ce film : y'a qu'à voir l'affiche pour comprendre que le mec est au dessus de l'humanité. En mode sabre laser, il tranche des têtes et décapite des cous. Vas y, vas le teste, mais t'étonnes pas si tu n'en reviens pas. Une armée entière est tombée sous ses coups, mais vas y, je t'y invite avec plaisir ...

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Schwarzy prouve qu'il peut même se sortir d'une comédie de merde. Et du style ridiculo-chip. Et se taper l'héroïne. Deux fois. Avant, pendant et après le film. ca fait trois, mais lui il s'en fout.

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Schwarzy, c'est une machine. Littéralement. Et si même un commissariat de flics armés n'a pas pu l'arrêter, crois pas que toi, simple humain et mortel simplet, tu pourras lui résister. Fin du game.

Annotation :

Même s'il ne s'appelle pas Conan, qu'il joue mal et qu'il habillé comme un vieux roumain qui voudrait faire de mauvaises blagues à ses copains du chantier, Schwarzy arrive à pécho Brigitte Nielsen, aka la future ex de Stallone, son grand ennemi. Schwarzy Win, Stallone loose.

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Schwarzy démontre qu'il a la capacité, tout comme Chuck Norris, de descendre la moitié de la Corée du Nord, et de taper dans les couilles à Poutine sans récolter la moindre égratignure. Cherches pas, tu peux rien contre lui.

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Ancien Conan et Terminator, le mec déglingue la gueule d'un alien de l'espace. Comment? A coups de boue et de cures dents. Pourquoi? Parce qu'il a tué ses potes, et que ça, c'est pas bien.

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Le mec s'attaque à Stephen King. Et gagne. Ou presque. Mais gagne quand même. Pourquoi? Parce que c'est Schwarzy, bordel de merde !

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Ici, il s'en prend à la mafia russe. A l'ex mafia russe.

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Schwarzy prouve qu'il est encore plus badass. Non seulement le mec devient agent secret en un soir, abandonnant son poste de fonctionnaire ( ou je ne sais trop quoi ) mais il provoque, en plus, une révolution de mutants sur la planète Mars. Badass le mec.

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Parce que Schwarzy est quelqu'un de sensible et qu'il doit le montrer, il va faire un stage policier chez les maternellois. Non, cherchez pas, ce mot n'existe pas. Et si vous me faîtes chier, je vous envois un Schwarzy dans les dents.

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Scharzy devient gentil, et explose la gueule d'une machine qui lui est supérieure. Et puis merde : Asta la Vista, Baby. Bim Bam, punchline de malade dans ta face de crabe.

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Schwarzy, il pèse tellement dans le game qu'il peut jouer dans un film un personnage qui croit se trouver dans la réalité. Puis, le mec sort de son monde cinématographique, et tombe sur son double. Ouais, c'est la classe, faut le redire.

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Attendez, Schwarzy se tape quand même Jamie Lee Curtis dans un film d'action de James Cameron. J'ai k'ça qu'à dire.

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Schwarzy massacre l'Afrique entière, et se fait ( vraiment ) blesser par un crocodile. Qu'il tue juste après.

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La fin des temps. Vous avez capté le jeu de mots? On passe aux années 2000, tournant le dos au 20ème siècle. Sauf que Schwarzy, lui, il peut se sortir d'un film de merde. Comment? En devenant gouverneur. Putain, ça c'est original.

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Schwarzy se refait un kiff : il se clone, se parle à lui même, et bute tous les méchants qui veulent le buter, lui, mais aussi son clone. Donc lui. C'est trop compliqué là, j'arrive plus à suivre le scénario ... Je retourne voir "Matrix".

Annotation :

Comme si son palmarès n'était pas suffisant, il a atomisé Travis de "Fear the Walking Dead", assassin de sa femme, et contrairement à Monk, il n'a pas peur de la poussière. Non, lui, il la répent.

Annotation :

Schwarzy, il emmerde tous les mecs qui l'aiment pas. Et qu'est-ce qu'il fait pour ça ? Il enfile des lunettes de femme. Violettes. Ou roses. Mais bordel on s'en fout, il le fait quand même ! Et il les écrase après. Mais c'est une autre histoire.

Annotation :

Schwarzy, autrichien, tient un rôle de Sultan, ou un truc dans le genre. Gné?

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Schwarzy fout la honte à Stallone et veut devenir président. En cinq minutes de présence à l'écran, il sauve le film.

Annotation :

Là, le mec te fait un concours de punchlines dans ta face. Sauf que tu t'en ressors pas. Et pour changer, il gagne. Contre les méchants, contre toi, et contre lui-même. Non, pas contre lui même : ça se termine en match nul.

Annotation :

Schwarzy tabassé du végétarien, parce que merde, c'est vachement bon la viande, et qu'ils sont foutrement cons, ces clampins, à pas vouloir en bouffer.

Annotation :

Schwarzy, il en a marre de suivre les déboires des mecs de Walking Dead et Resident Evil. Et lui, faut pas le véner, sinon, c'est les zombies qui vont prendre cher. Et ce sont les zombies qui prennent cher. Il se rattaque à l'humanité, à la différence prêt que l'humanité est morte et qu'il la tue de nouveau.

Annotation :

C'est un grand jour dans la vie de Schwarzy : il est revenu dans le passé, à vieilli, et s'est lui-même fracassé. Mais en plus jeune, sinon c'est pas drôle. Et même qu'on l'appelle papy. Et ça n'a pas l'air de le déranger. Pourquoi? Parce qu'il gagne encore dans son film, et qu'il bute tout ce qui bouge, y compris des machines plus fortes que lui. Qu'est-ce qui leur manquait, à ces machines? Sa classe. Point barre dans ta gueule.

Annotation :

Décorateur d'intérieur, changeur de couches, père de famille qui caresse son chien, le Terminator tire sa révérence après 35 ans de drôles de service, tout en emportant forcément Schwarzy dans son sillage. Que sera sa carrière, après ça?