Livres lus en 2020

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Décembre 2019 et janvier 2020 - L'année démarre fort. Après avoir lu, il y a quelques années, "La résistance indienne aux États-Unis" d'Elise Marienstras, j'ai replongé dans la tragique histoire "indienne"

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25 janvier 2020 - J'aime ce genre de livre, entre écriture et peinture. L'auteur choisit un angle (ici, celui de l'omniprésence des femmes dans l'œuvre de Renoir) et le développe le temps d'un livre très court, avec un grand nombre d'œuvres du peintre de présentées.

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Fin janvier 2020 - Des portes ouvertes enfoncées, un peu fouilli , mais aussi quelques petites anecdotes plaisantes.

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Janvier - Février 2020 - Un nouvel opus de la série des Rougon-Macquart de lu. Pas mon préféré.

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Fin février - Début mars 2020 - Livre hautement instructif sur les dangers des indicateurs liés à la croissance et au PIB. Avec des mots accessibles, d'autres concepts pérennes et salvateurs pour l'humain sont développés.

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Septembre 2019 jusqu'à mars 2020 - Au milieu de poèmes que j'ai trouvé abstraits, mais beaux, il y a des moments qui furent intellligibles et très forts. Je me souviens de l'Escaut à Anvers et ceci m'a permis de rendre plus compréhensible ma lecture.

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Mars 2020 - Immersion dans le travail d'un des précurseurs de l'impressionnisme, Claude Monet.

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Mars 2020 - Mon 3ème Duras. Je conçois qu'il y ai quelque chose d'agaçant dans l'écriture de Marguerite Duras. Lors de mon 2ème Duras, de longs passages de Moderato Cantabile, furent pénibles à lire pour moi. Mais là, il y a quelque chose qui ressemble à une rengaine, un refrain avec ses couplets.

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Mars 2020 - J'imaginais tellement de lourdeur, de compliqué, d'abstrait après avoir lu les critiques et avant de lire le livre, que je suis tout étonné de tout ce négatif balancé sur ce bouquin. J'ai trouvé la lecture facile, fluide, claire. Je l'ai même lu avec plaisir, avec un fort désir, à chaque page que je tournais, de connaître la suite, avidement.

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Fin mars - Début avril 2020 - Lecture plaisante. L'histoire se déroule dans une Maison d'Enfants. Je connais très bien cette univers car ce fut mon lieu de travail ces dernières années.

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Avril 2020 - Tout premier Balzac. Dépucelage sans douleur. Balzac peint particulièrement bien les mœurs de la bourgeoisie et la noblesse du début du XIXème siècle. Avec une femme comme personnage principal. Et une certaine idée de la force mentale et de l'intelligence de ces femmes.

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Avril 2020 - Je connaissais peu l'œuvre de Franz Marc et encore moins sa biographie. Donc une belle découverte s'est réalisée.

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Avril 2020 - Belle immersion avec le pêcheur. Mais ça reste un peu trop prévisible peut-être.

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22 Avril 2020

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Fin avril 2020 - Livre très laborieux à lire. Très certainement, en ce qui me concerne, du au fait que c'est un scénario que l'on lit. Et puis de toute façon Duras est agaçante. J'aime un livre sur deux d'elle. Elle arrive à me rendre incertain. Je crois que je vais gentiment faire une pause pour cette année avec cette autrice...
Quoiqu'il en soit, voici ce que dit Amélie Nothomb au sujet d'Hiroshima Mon Amour dans un dialogue de son livre "Ni d'Eve ni d'Adam" (que je n'ai pas encore lu) :
" - Pourquoi l'auteur [Marguerite Duras] le dit-elle de façon si bizarre ?
- C'est Marguerite Duras. Son charme, c'est qu'on sent les choses sans forcément les comprendre.
- Moi, je n'ai rien senti.
- Si, tu étais fâché.
- C'est la réaction voulue ?
- Duras aime ça aussi. C'est une bonne attitude. Quand on achève un livre de Duras, on éprouve une frustration. C'est comme une enquête au terme de laquelle on a peu compris. On a entrevu des choses au travers d'une vitre dépolie. On sort de table en ayant faim. "

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Fin avril - Début mai - 2ème Balzac. En suivant l'ordre des thèmes. Je l'ai préféré à la maison du chat qui pelote, notamment pour cet humour du comte de Kergarouët et la jolie ironie des situations du livre.

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Septembre 2019 à mai 2020 - Lu miette par miette, nouvelle par nouvelle. Comme des petits bonbons tantôt acidulés, tantôt très sucrés, mais toujours savoureux.

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Mai 2020 - Une bonne introduction à l'univers du Monde de Narnia. À noter une fin assez onirique.

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Mai 2020 - Lu en période de confinement puis de déconfinement : ils sont tentant à faire les liens entre un état totalitaire basé sur l'absence de libertés, une science qui dirige les vies, l'unité à tout prix (jusqu'à devenir des numéros) et notre époque en plein virus.

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Fin mars à mai 2020 - Sous ses acpects de poésie du quotidien, ce recueil nous amène, tout doucement, plus loin que cela. Grâce à ces métaphores malignes et son ton tantôt nostalgique, tantôt rayonnant, Cécile Coulon m'a convaincu de la suivre encore, dans d'autres livres.

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Fin mai - début juin 2020 - Une nouvelle scène de la vie privée de lue. Avec cette toile de fond que sont les relations amoureuses, la rencontre et ses affres, Balzac peint un nouveau petit tableau en revisitant Roméo et Juliette, version corse.

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Juin 2020 - Les premières aventures de quatre enfants anglais dans l'univers du Monde de Narnia. Livre avec des défauts je trouve.

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Fin juin - juillet 2020
Un style très réaliste, avec une écriture simple, mais qui finalement en dit long.

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Mars à juillet 2020 - Une belle sélection de poèmes avec des thèmes plutôt atypiques, mais surtout des découvertes de poètes totalement inconnus pour moi.

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Juillet 2020 - Pour moi le meilleur tome que j'ai lu jusqu'à présent. On quitte le temps d'un tome ces (parfois) énervants petits anglais pour suivre les vrais habitants de ce monde. En plus il y a plusieurs niveaux de lectures et cela est fait avec finesse.

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Fin mai à août 2020 - Textes opaques, qui ont mérité plusieurs lectures pour y voir plus clair. Cela reste du surréalisme, donc chercher du sens dans cet ouvrage, comme je le fais souvent en poésie, est idiot. Mais je n'ai pas dit qu'il en était dénué non plus. Quelques pépites de rencontrer tout de même.

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Août 2020 - Des anecdotes d'une petite enfance atypique qui rencontrent des questionnements plus profond sur la vie.

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De mai à septembre 2020 - J'aime bien la manière avec laquelle écrit Sylvain Tesson. C'est un tantinet arrogant, un peu élitiste, mais ça fait toujours voyager. Même quand l'histoire se passe à Paris.

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Août-septembre 2020 - Au début de la lecture je me suis demandé dans quoi je mettais les pieds. Beaucoup de situations instrumentalisées pour expliquer ce que veux bien nous montrer l'auteur. Des passages carrément inutiles dans lesquels l'auteur nous dit que tout est inventé et que ces personnages ne servent pour lui qu'à présenter des idées. Euh merci Milan de nous expliquer le principe de la littérature ! Mais sinon et surtout de grands moments. Des idées fortes, qui m'ont fait réfléchir. Finalement la lecture fut utile et le texte beau, avec une écriture hachée, mais belle.
Ce pavé montre en tout cas que Kundera ne laisse pas indifférent.

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Début octobre 2020 - Deuxième fois que l'on voit apparaître les mêmes quatre petits anglais si prétentieux. Les moments les plus intéressants sont pour moi les histoires vécus par les animaux/personnages du cru. Mention spéciale à la vision d'un monde écologique, avec un livre pourtant écrit dans les années 50.