Les meilleures batailles de films de Fantasy

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Bataille choisie :
Le Siège de Minas Tirith ; La Bataille des Champs du Pelennor

La charge des Rohirrims ! Y a-t-il une scène dans tout le cinéma qui ait provoqué plus d'excitation que celle-ci ? Absolument tout est grandiose et épique dans cette longue suite d'enchainements guerriers : du siège de la capitale gondorienne jusqu'à l'arrivée de l'Armée des Morts en passant pour le vol des Nazguls, le balayage des Mumakils et les bordées de catapultes entre Gondor et Mordor. L'action ne perd pas en énergie et l'on est happé du début à la fin.

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Bataille choisie :
La Bataille de Fort-le-Cor

Perçue par beaucoup comme la plus belle bataille de la trilogie, il est vraie qu'elle assure sur de nombreux points. Un siège de qualité qui ne manque pas de proposer des scènes d’anthologie ; la brèche dans le mur du Gouffre de Helm est restée dans la mémoire du plus grand nombre.

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Bataille choisie :
Bataille finale, contre la Sorcière Blanche

On pourra dire ce que l'on veut de ce film : qu'il est moyen, assez (voire trop) enfantin, chiant... on ne peut pas lui enlever, selon moi, qu'il propose une bataille finale spectaculaire du début à la fin. On nous offre une charge magistrale qui reste dans les annales des batailles des films de Fantasy, en plus de nous divertir d'un affrontement dynamique !

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Bataille choisie :
Escarmouche sur Amon Hen

D'aucun pourrait dire qu'il s'agit plus d'une "escarmouche" que d'une bataille à proprement parler mais force est de constater que l'affrontement que l'on nous présente entre les membres de la Communauté de l'Anneau et les hordes de Uruk-Haï est mémorable et spectaculaire (dans le sens hollywoodien du terme). Mais c'est bien ces éléments presque exagérés : Aragorn contre dix mille ennemis, Legolas qui vide cinq carquois, Merry-Pippin qui assomme des guerriers en armure lourde... qui embellissent cette sensation extraordinaire. Mais il faut bien réserver une mention spéciale au combat de Boromir qui continue de m'émouvoir encore et toujours.

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Bataille choisie :
La Bataille des cinq armées (logique)

On pourra dire ce que l'on veut à son sujet (généralement en mal ; allez savoir...) : oui, cette bataille prend absolument tout le film. Oui, elle est d'une longueur presque indigeste. Oui, c'est du grand n'importe quoi - avec ces événements quasi grotesques, à la limite du burlesque. Oui, on peut vite s'ennuyer. Mais de toutes les créations de Fantasy, pour l'heure, c'est le seul film où l'on nous présente un combat entre Elfes et Nains de manière aussi bien travaillée. De plus, on nous offre une logique de bataille plus qu'épique avec des rebondissements plus qu'appréciables ; de la charge naine au mouvement de troupe elfique en passant par la nuée d'Orques tout bonnement impressionnante. Elle ne parvient pas à la cheville de la Bataille des champs du Pelennor (Le Retour du Roi) mais a le mérite d'être tout aussi spectaculaire.

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Bataille choisie : Le passage des tonneaux

Une des pattes vraiment (du moins, personnellement) intéressante, c'est que la trilogie du Hobbit - pour chaque opus - propose des séquences de combat mémorable, quitte à les rendre ridicule ; ça percute mieux on va dire. L'évasion des Nains de la forteresse du roi Thranduil est un passage délicieux, alliant l'évasion - donc - des Nains avec la poursuite et des Orques qui désirent les tuer et des Elfes qui veulent les arrêter. Une course-poursuite qui ne manque pas de séquences extraordinaires, très peu réalistes (on ne va pas se le cacher) mais qui saisit d'action le spectateur.

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Bataille choisie : La fuite de Gobelinville

On rejoint les propos déclarés précédemment avec un épisode tout bonnement spectaculaire qui nous offre une fuite dynamique et nerveuse ; tout en proposant une vision plus "réaliste" (avec de très très gros guillemets) d'un affrontement en Terre du Milieu - la touche très enfantine, et mature (ce qui en fait une signature facilement reconnaissable), de ce combat est tout simplement délicieuse, le tout couplé à une séquence musicale prenante.

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Bataille choisie : Le combat dans la cour de Camelot

Dans ce film, absolument tous les combats sont mémorables pour une seule et indiscutable raison : Guy Ritchie. Le réalisateur des "Sherlock Holmes", dans ces films, nous avait prouvé qu'il était un maître et un avant-garde dans la manière de montrer à l'écran des combats, alliant ralentis et zooms avec perfection. Une signature que l'on retrouve dans ce film et qui est sublimé lors de l'arrivée du roi Arthur dans une Camelot gorgée de "culottes noires" (l'armée de Vortigern). Je conçois que le rendu est quelque peu indigeste pour qui n'est pas habitué à cette manière de filmer mais le résultat est tout bonnement grandiose, quoique très court.