Le psychédélique : rétrospective détaillée de mon parcours dans ce style

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LA compilation psychédélique. Ou comment résumer les balbutiements du rock garage et acide.
Toutes les pépites fondatrices réunies en un seul et même disque, si c'est pas parfait ça !

Ici, si je ne dis pas de bêtise, j'ai mis la réédition 4 CDs de Rhino, mais si vous désirez vous la jouer puriste, allez écouter l'édition originale de 27 titres seulement (ce qui correspond au 1er cd de cette version).

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Quand on parle de rock psychédélique, le premier nom qui vient en tête, c'est Pink Floyd. Et si on doit parler de pur pychédélique, LE Pink Floyd qui s'impose, selon moi c'est celui-là.
Un album à la fois aquatique et spacial, qui évoque tout autant une après midi ensoleillée qu'une nuit noire. Une pure merveille hors du temps.

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L'autre grand nom (si ce n'est lui le premier) du rock psychédélique, c'est The Doors. Mon groupe préféré, très probablement.
J'ai beau avoir une préférence pour L.A. Woman, en terme de psychédélisme pur celui-ci fait plus figure de référence ;)

Grand classique, incontournable, mythique, fabuleux. Un album qui marque à vie.

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Chez les fanas de rock psychédélique de la première vague anglaise, LA référence culte, c'est celle-ci.
On sent l'acide dégouliner de chaque piste de ce bazar expérimental. On sent la folie de Rocky Erikson (R.I.P.), hypnotisé par la quantité phénoménale de drogues ingurgitées.
Rien n'est plus true psychedelic que cet album.

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Ween...Mais quel groupe merveilleux.
C'est un groupe qui s'est distingué par son sens de l'humour et son côté "rien à battre des codes on fait ce qu'on veut nous", et j'avoue que ça me parle pas mal.

Néanmoins, Quebec est considéré comme étant leur album le plus sérieux, malgré quelques passages bien délirants comme Hey There Fancypants ou encore Chocolate Town. Et il est vrai qu'on ne se fend pas la poire à l'écoute d'un So Many People In The Neighborhood (étrange morceau maniaque et anxiogène) ou d'un I Don't Want It (balade sur le thème de la rupture). Mais dans ce cas, pourquoi écouter ce Quebec ?
Parce que Ween ne brille pas que pour son humour. Les musiciens font preuve d'éclectisme dans l'écriture des morceaux, tout en gardant une certaine cohérence. Et soyons honnêtes, ce n'est pas pari gagné, parce que rester cohérent en mêlant du neo-psychedelia, de l'électronique, du blues, de la folk, de la pop et du rock progressif, c'est une sacrée prouesse. Et ils y arrivent.

Cet album est un véritable classique, et c'est extrêmement dommage qu'il soit si peu connu en France ! (72 notes sur Senscritique contre plus de 9000 sur Rate Your Music, ça en dit long). Alors foncez, braves gens, faites moi confiance et écoutez ce chef d’œuvre en boucle.

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Un classique de la vague anglaise de la fin des années 60. Un album éthéré, bluesy sans être raw pour autant. Un bijou mystique qui m'accompagne lors des douces après-midis d'été.

Et cette pochete...Une des plus belles qui m'ait été donné de voir. Petit plus également pour le titre No Name, No Face, No Number, probablement l'une de mes ballades psychédéliques préférées.

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Fabuleux album, classique de fin 60's, du psychédélique cru et blues.
Voir ma critique pour plus de détails ;)

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Un album pas si connu...Quel dommage ! Même si avec les années, il commence à s'imposer comme référence...
Un album psychédélique, planant, progressif, où chaque note est à sa place, et où le tout forme un ensemble compact et puissant.
Magique.

Pour la petite anecdote, Petri Walli, le frontman du groupe, voulait créer un groupe aussi culte que Led Zeppelin ou Pink Floyd. Se rendant bien compte que malgré un petit succès national, il n'atteindrait jamais le statut de légende, il a déclaré une dépression et s'est suicidé. Et c'est vraiment dommage, parce qu'en terme de talent d'écriture, ce mec était un génie. Passionné d'électronique, il a repris à plusieurs reprises des tubes technos...en rock psychédélique (ex de cet album : I Feel Love). Et ce qui est fou, c'est que ça marche, c'est brillant.
Repose en Paix Petri.

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Psychédélique ? Oui, mais pas rock pour autant. un fouillis de plein d'influences, pour un tout littéralement transcendant.
Un psaume nocturne et tribal qui emporte l'auditeur trèèès loin.

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Groupe anglais culte pour les connaisseurs. Il n'a pas connu de succès commercial foudroyant, and my god, that's a pity.
Ozric Tentacles, c'est un groupe instrumental qui a un pouvoir immersif absolument fantastique. Les inspirations sont variées : Krautrock, musiques ethniques arabes, dub, psychedelia, et surtout électronique. Parce que l'instrument qui dirige les pistes de leurs albums, c'est bien le clavier. Ou plutôt devrais-je dire LES claviers, qui se superposent en couches saturées de reverb.

Cet album, pour moi comme pour beaucoup, est leur meilleur. C'est une véritable réinvention du psychédélisme, un son unique grâce à une accumulation d'idées expérimentales et d'instruments en tout genre. Un album à la base underground, devenu must-have.

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Deux longues plages progressives et psychédéliques à souhait.
Ce que j'admire dans cet album, c'est à quel point le tout s'enchaîne avec évidence. Parce que oui, c'est un album de 35 minutes en deux titres (qui en réalité n'en sont qu'un seul coupé en deux, adapté pour le format vinyle) qui est franchement hyper accessible.
Et cela s'explique par la qualité d'écriture de Nektar. C'est un album très mélodique (sans tomber dans les schémas pop, loin de là rassurez vous), tantôt chaleureux, tantôt mélancolique, tantôt planant, tantôt énergique (on a même droit à des passages funky sur la deuxième partie du disque, voire même carrément hard rock).

Pour moi un grand classique que ce soit en rock prog ou psychédélique, que je ne peux que recommander !

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Un de mes albums préférés, tous styles confondus. Le plus Blues du groupe, mais toujours psychédélique. Et le son psychédélique de The Doors, c'est probablement la plus belle chose qui m'ait été donné d'entendre. Un son assez sombre et dissonant (L'America), qui s'ouvre sur des passages bien plus planants et mélodiques (Riders on the Storm). C'est le genre d'album qui sonne comme une évidence, comme si aucune réalité alternative n'aurait pu faire de cet album un flop.
Chef d'oeuvre comme rare existent.

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Un album boudé...Trop boudé. The Doors s'essaient au son plus mainstream de l'époque, mais tout en restant fidèle à leur identité. Et ces sonorités cuivrés ajoutent un côté brûlant et rugueux à leur psychédélisme, ce qui n'est pas pour me déplaire (le morceau The Soft Parade le montre bien. Le groupe a toujours été brillant pour les longs morceaux).

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Oui, bon, d'accord, tout le monde connaît cet album. Mais je ne peux pas faire une liste de psychédélique sans évoquer Sergent Pepper. On oublie trop souvent à quel point cet album a tout changé dans la conception du psychédélisme.

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Bon je mets les albums des Beatles au début de la liste, comme ça c'est fait.
Autre grand pilier du psychédélisme, pas besoin de m'étaler sur le sujet je pense. Bien des gens l'ont fait avant moi, et l'ont sûrement mieux fait que je n'en serai capable.

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Premier album de stoner de la liste, mais quel album ! Je n'ai jamais tellement accroché aux classiques des années 90 tels que Kyuss, Fu Manchu ou encore Orange Goblin (quoique Orange Goblin, y a un ou deux albums vachement bien) mais les sorties plus récentes (2000-2010s) m'ont vraiment marqué.

1000 mods est un groupe grec, et ce détail a son importance. Car en Grèce existe une véritable scène de stoner avec son identité forte. Et 1000 mods en est probablement le groupe le plus célèbre. Le son ronflant 'à la grecque' est parfaitement produit (mais quand je dis parfait, c'est vraiment parfait, hein. Sûrement une des meilleures productions stoner que j'ai entendue), et chacun des morceaux de ce premier album est un bijou. On ressent la chaleur écrasante du soleil méditerranéen comme si on y était (et je suis Lillois, donc il faut le faire pour que je la ressente cette chaleur).

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J'avoue écouter assez peu de Jam Bands, pour une raison que j'ignore. Mais Electric Octopus est un groupe que j'affectionne particulièrement, surtout pour cet album.
Trois titres d'improvisations éthérées et planantes pour un total de 37 minutes. C'est selon moi le parfait ratio "durée des morceaux/durée de l'album" pour du Jam, car plus serait trop long et indigeste. Mais pour ceux qui préfèrent enchaîner des dizaines et des dizaines de minutes d'improvisation, sachez que la majeure partie des albums d'Electric Octopus sont beaucoup plus longs (leur album le plus connu, Driving Under the Influence of Jams, dure près de 4 heures).
Un album parfait pour se détendre au soleil en ces journées de début de printemps.

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Un ami de l'ex de ma sœur lui avait un jour filé un disque dur rempli à ras bord de psychédélique grec parfaitement obscur. Comme quoi, la Grèce est un pays formidable. Malheureusement, je n'ai pas eu l'occasion de lui soutirer beaucoup de noms de groupes avant qu'il ne perde son statut de petit copain de ma sœur. À vrai dire, seul Nostradamos a pu passer par mes oreilles.
D'un côté, je ne vais pas me plaindre, car c'est une super découverte qu'a été celle de ce groupe.

J'ai lu que Nostradamos avait eu un certain succès national à l'époque. J'avoue que je n'étais pas en Grèce dans les années 70, je ne peux pas témoigner.
Côté musique, on a affaire plus à de la pop rock aux accents planants par moments qu'à du réel psychédélique. Mais pour l'anecdote du disque dur, cet album devait figurer dans cette liste.

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Tout dans ce groupe laisse penser qu'il vient de Turquie. Pourtant, c'est un groupe hollandais. Plot Twist.
Il faut dire que leur musique est trompeuse. Altin Gün est un groupe d'Anatolian Rock, c'est-à-dire de rock psychédélique s'inspirant de sonorités des musiques traditionnelles Turques. C'est un style qui avait connu une première vague durant les années 60-70, avec des artistes comme Barış Manço ou Moğollar, et qui connaît actuellement un second essor avec des groupes comme King Gizzard and the Lizzard Wizard (notamment sur l'album Flying Microtonal Banana) et donc Altin Gün.
Pour moi, ce Gece est leur meilleur album, avec des tubes imparables tels que Vay Dünya qui est clairement mon morceau préféré du groupe.
Du psychédélisme dansant et accrocheur, ça fait du bien entre deux albums "3 morceaux/45 minutes" ;)

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Atomic Simao est un Jam band qui, fait peu commun, vient tout droit d'Ukraine. Détail qui laisse à penser qu'on aura pas droit à un nouvel album tout de suite...

Musicalement, c'est un groupe qui ne révolutionne pas grand chose en soi. On a affaire à des longs morceaux instrumentaux construits pour la plupart en progression, avec de longs solos de guitare sous reverb. Mais c'est un album qui vaut largement le détour : malgré une durée d'une petite heure (pour six titres), c'est un album qui sait nous tenir en halène tout du long, notamment grâce à des lignes de basses très intéressantes, mais également grâce à des expérimentations électroniques du plus bon goût.
Pas forcément le nom le plus marquant de la scène, mais tout amateur de rock psychédélique saura apprécier cette petite perle.

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Du français, cette fois-ci ! Inspirations krautrock, stoner (tendance psyché et non pas doom), space rock (Hawkwind n'est pas très loin).
Une odyssée spaciale dense et angoissante où, sur 1h12, absolument rien n'est à jeter.
L'une des plus grandes réussites du psychédélique moderne.

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Un classique de pop folk psychédélique, aux douces ballades printanières absolument délicieuses.
Certains reprochent à l'album d'avoir assez mal vieilli. C'est vrai que le son de l'album sonne vraiment encré fin 60s - début 70s, mais honnêtement ce n'est pas pour me déplaire.

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Entre rock progressif et rock psychédélique, voici Nemrud, groupe turc produit en France, et qui ne fait pas dans la dentelle. Ritual est un album qui présente parfaitement la face sombre de la musique psychédélique. À la fois mélancoliques, lourds, denses et planants (grosses influences space rock), le groupe nous sert sur un plateau quatre morceaux sombres et puissants, qui nous plongent dans un univers spacial sans pité.
J'apprécie grandement les petites mélodies arabesques, suffisamment abstraites pour ne pas être lourdes, mais suffisamment évocatrices pour nous rappeler les origines du groupe.
Grande réussite des 2010s, qui mérite bien plus de succès !!

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Il y a de fortes chances pour que le nom de Blues Pills soit passé pas vos oreilles ces dernières années, surtout pour cet album.
Un album qui assume totalement un style retro 70s, mais qui a bien plus de talent qu'une bonne partie des groupes de l'époque. Chaque morceau est incroyable. Mais vraiment chaque morceau. Pas un seul en dessous.
Ça oscille entre blues rock, hard rock et rock psychédélique, avec une chanteuse qui en plus d'être une pointure technique, a un charisme d'enfer.
Si vous ne connaissez pas, jetez vous sur cet album, c'est un pur bonheur que je me passe en boucle chaque été.

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Vous avez aimé Blues Pills ? Alors vous allez aimer The Riven. C'est exactement le même principe : un mélange de blues rock, de hard rock et de rock psychédélique avec une chanteuse charismatique.
Malheureusement, le groupe n'est pas aussi talentueux que les Pilules de Blues, les morceaux sont moins recherchés, la chanteuse est certes impressionnante, mais pas autant que Elin Larsson...N'empêche que c'est un premier album fort sympathique, qui contient son lot de tubes. Hâte que leur second opus arrive !

Et honnêtement, avez-vous déjà vu une pochette aussi belle ?

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Long Season...Quel album !
Un pur concentré de douce mélancolie printanière sur une seule piste de 35 minutes. Un album à écouter lors d'une balade en nature, un jour de beau temps, dans l'idéal près d'une source d'eau (l'album a une forte ambiance aquatique).

Niveau musique : dream pop, psychedelia, dub, ambiant, progressive pop, neo-psychedelia, post-rock.

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Elle est bien cette liste, elle me permet de prendre conscience qu'il y avait plein d'albums que j'avais oublié de noter sur SC ;)

Elder, référence moderne en terme de Stoner rock, et c'est assez légitime.
Je connais encore assez mal le groupe, mais cet album est une franche réussite, ça je peux l'affirmer.
Longs morceaux aux influences progressives et limite post rock, aux riffs forts efficaces, sans être brutaux ni trop lourds pour autant. J'avoue avoir beaucoup de mal avec le stoner trop orienté metal et doom, et j'ai cru comprendre que c'est par cet album que le groupe s'est éloigné de ce genre de stoner, pour aller vers un son plus psychédélique et plus progressif. Que du bonheur pour moi comme pour tous ceux qui partagent mes goûts sur ce point ;)
Un album fort solide avec un son original, foncez m'dames et m'sieurs ça en vaut le coup !

Et petit plus pour la pochette absolument magnifique.

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Encore un album que j'avais complètement oublié de noter...Il était temps que je revienne sur SC dis donc !

Grand classique de stoner metal, Orange Goblin font partie des rares de ce style auxquels j'accroche. Il faut dire que les riffs sont franchement dingues. L'album peut faire peur de part sa durée (1h11 tout de même), mais n'ayez crainte, cette longueur s'explique par le dernier morceau d'une trentaine de minutes, dont 17 de silence (quels plaisantins ceux-là dis donc). Le morceau est construit ainsi : 6m40 de morceau, 15m05 de silence, 6m36 de morceau surprise puis enfin 2m03 de silence. Si on ne compte que les parties musicales de l'album, ça donne au final une cinquantaine de minutes, ce qui fait tout de même moins peur que 71 minutes...
Et ces cinquante minutes en valent largement le détour, au moins pour la culture vu que comme je l'ai dit, ce groupe est un classique du genre.

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J'ai déjà crié mon amour pour Ween plus haut dans la liste, avec l'album Quebec. Laissez-moi à présent vous parler de The Mollusk.
Un album au ton bien plus léger que son successeur, bâti autour d'un concept aquatique (cf le nom, The Mollusk) et traité avec beaucoup d'humour, autant musicalement quand dans les paroles, que je vous invite à écouter attentivement.

Le style est plus axé neo-psychedelia et folk que les autres albums du groupe, avec toujours des petites touches pop qui viennent sublimer un ensemble déjà fantastique, et, on peut aisément le dire avec ce groupe, unique. Parce que la musique de Ween ne ressemble à rien que vous ayez pu entendre auparavant.
Enjoy ;)

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Très chouette album de symphonic prog rock à forte tendance space rock, avec des touches électroniques et jazz du plus bel effet ! Et en plus c'est du français !
(1975)