La pellicule de mes 26 ans (2024)

Annotation :

Vu à l'UGC Part-Dieu, et je m'énerve profondément de ne pas avoir pris des notes plus tôt.

J'ai bien dû passer 45 minutes à m'agacer en disant "franchement Jamie Bell et Claire Foy ont quasi le même âge que Andrew Scott, iels auraient pu faire un effort pour la crédibilité"..............................
M'enfin Dimitri a eu bien du mal à se laisser porter.

Annotation :

Tout de suite après ma séance de ciné, parce qu'apprenons à connaître ce M. Mescal qui fait plaisir aux mirettes, mais qui ne ressemble pas du tout au même Paul Mescal que j'ai vu à l'instant de Sans jamais nous connaître.

J'ai la nette impression d'avoir vu un Manchester by the Sea, mais sans avoir été touché cette fois-ci.

Annotation :

A revoir puisque la sieste a été très longue.

Annotation :

Chez moi parce que je devais à le voir à l'UGC mais fallait gérer l'agressivité de Clara. J'ai insisté parce que ça faisait précisément trois fois que j'eusse (c drôle mais ça marche sûrement pas comme ça la concordance des temps) l'occasion de voir ce film, alors il n'était pas question de le louper encore une fois.

Le titre du film est donc génial, même si cette histoire "d'amour" est bien étrange je trouve, on aurait largement pu s'en dispenser à mes yeux. "La fille" ne sert pas l'histoire du film objectivement.
Mais ça n'est pas le whodunit de l'année.

Annotation :

UGC Part-Dieu, mais ça fait deux mois que je ne suis pas allé au cinéma. La dernière fois, c'était d'ailleurs pour Dune première partie.

Barf oui mais bon... J'ai jamais été fan de saga de toute façon.

Annotation :

A l'UGC Cité internationale avec Mumu

Sympa cette proposition d'humour noir, très noir. Et ça m'a fait plaisir de voir un film à sketchs comme ça, ça faisait longtemps

Annotation :

Bon retour

Annotation :

A UGC Cite internationale un dimanche après avoir bien fait plein de choses reposantes ce week-end.

C vraiment bien drôle. Vraiment, j'ai beaucoup ri.
Mais j'suis content de savoir que ça a dix ans, et qu'aujourd'hui ça ne marcherait plus aussi bien ce genre de film. Donc 7 sûrement à l'époque, mais sérieusement à l'heure où j'écris ça, avec mes yeux de maintenant, c 6, faut pas déconner. Y a au moins cinq ou six scènes, c du harcèlement sexuel.

(Julianne, je t'aime éternellement. Te revoir dans un film m'a procuré un immense plaisir)

Annotation :

Chez moi plutôt que d'aller à l'UGC voir Argo, vu les trombes d'eau qui tombent.

Pas si mal, ça va

Annotation :

Chez moi après Mystère à Venise.

Bon ça va que ça te tire parfois un sourire, parce que ce n'est vraiment pas très bon ce coup-ci

Annotation :

Chez moi-même toujours, sur un coup de tête. A vrai dire, la première fois que je l'ai vu, et pas en entier, c'était en cinquième avec M. Bodin un jour de neige qui avait empêché tout le monde de venir, je m'en souviens parfaitement bien.

Mickey Rooney en chinois, ce n'est pas possible et j'suis content de savoir que déjà en 64, ce n'était pas possible.

C'est cutie comme comédie romantique, même si je trouve ça agaçant mon dieu les pauvres qui courent après la richesse.

Cette scène de fin, ce baiser avec le chat au milieu est si belle je trouve.

EN REVANCHE, CETTE GROSSE FOLLE ELLE A ABANDONNE LE CHAT SOUS LA PLUIE, PLUS JAMAIS JE NE VEUX VOIR CA

Annotation :

Enfin réussi à le voir après tant de persévérance (Arte coupé + oubli de mon chargeur au cab) !

Je n'aime pas ce cinéma du vieux monde, l'ambiance si mâle me déplaît. J'entendrais parfaitement qu'on me dise que ma réflexion est déconnectée de la réalité du temps, mais en tout cas, ce film est passé dans la postérité, et si je dois lui reconnaître quelques qualités, je peux pas m'empêcher de sentir le climat de teub de ce genre d'endroit. Et ça m'ennuie que ça soit glorifié aujourd'hui.

Annotation :

Quelques jours après Le Samouraï chez moi, au lieu d'aller voir 8 Femmes au cinéma (je pense sincèrement que je vais arrêter mon abonnement UGC).

Même remarque que pour le précédent, mais celui-ci, je trouve, se regarde avec plus d'entrain. En revanche, je ris d'imaginer la comm' à l'époque