Je dis pas que c'est mauvais mais...

Annotation :

Un rejet absolue, même si après avoir entendue des personnes le défendre c'est vraie qu'il est le film somme de lars von trier.

Edit : Je renvois à ma critique sur le film mais je pense que mon rejet était dû à ma méconnaissance du cinéma de Lars Von Trier et que j'ai n'ai pas su comment prendre ce sentiment de malaise et de vide en sortant du film (qui au final représente parfaitement le tragédie de la vie de Joe).

Annotation :

Je me suis endormie devant, donc je ne suis pas sur de bien pouvoir juger le film.

Annotation :

Soit on rentre dans l'ambiance ultra styliser et référencés du film, soit on rigole du ridicule que ces scènes prennent quand on regarde le film et non quand on le vie.

Annotation :

Intéressant mais le film demande vraiment à se qu'on se force à rentrer dedans pour l’apprécier. Je ne l'ai pas aimer mais je trouve que c'est un film qui brasse suffisamment de thèmes en les explorant suffisamment pour nous faire réfléchir, louable.

Annotation :

Juste pas mon humour, ce fût très long de voir ce film jusqu'au bout. Néanmoins dans ses films ont eu une telles influence et le partit prit présent dans ceux que j'ai vu tel que je ne peux que les saluer.

Annotation :

Entre exaspération des personnages, de l'ambiance fac de médecine (ici c'est vétérinaire mais c'est pareil) ou le ridicule de certaines scènes, c'est un non pour moi. Mais je ne connait pas les films de genre auxquelles il fait référence donc bon :/

Edit : Bon en plus des mêmes choses qui m'avaient exaspérées lors du premier visionage j'ai eu la réponse par rapport à ses référénces. Alors je ne dis pas toutes les avoir eu. Mais quand elles sont utilisées elles sont d'une lourdeur (Carrie, The Grudge, Roméro et Cronenberg) ! Le film n'a ni la viscéralité ni la cérébralité d'un Cronenberg. Ce n'est ni réaliste, ni pop, ni tragique. Bref tout ce qu'elle a voulut faire tombe comme un mauvais soufflé.
Il reste des scènes en dents de scies, donc certaines qui sont insuportables tellement c'est poseur (la scène du miroir, de la boite de nuit avec elle en fond...) et d'autre où la complicité entre elle et les autres (le mec notamment) marchent assez bien.

Annotation :

Je trouve juste que les situations en font trop sur la tragédie et la misère des personnages. Mais c'est une impression très personnelle.

Annotation :

Le fait de ne pas croire en l'histoire d'amour joue sur un film...qui parle d'amour.

Edit : Bien plus apprécié cette ambiance pinçante avec cette violence qui se cache sous le vernis et parfois explose. En plus de la beauté picturale qui m'a beaucoup plus ému et surtout cette histoire d'amour toxique qui cette fois m'a bien plus emporté.

Annotation :

Tout les films de Godard regorgent d'idées et je ne fait pas partit des personnes qui disent que c'est un tocard sans talents. Mais il est vrai qu'il est difficile d'apprécier le style et la saveur disons... particulière de ces film.

Annotation :

Non vraiment c'est intéressant mais, putain faut s'accrocher... Le style est entre le audacieux et le pompeux. Et là j'ai le cul un peu entre les deux donc... je sais pas trop quoi penser.

Annotation :

Là encore le film n'est pas mauvais, mais juste... Fanny Ardaaaaaannnnnnntttt (à prononcer en expirant très fortement)

Annotation :

De vrai trouvaille visuelle mais une symbolique que j'ai eu du mal à comprendre durant le film, il faudrait que je le revoie plus tard avec plus de bagage culturelle mais pour l'instant c'est un...mhe

Edit : Revisionné pour un cycle sur les films de Glazer. Belle redécouverte, là où mon manque de compréhension de la symbolique lors de mon premier visionnage m'avait gêné, j'ai justement beaucoup plus apprécié ses symboles diffus dans une imagerie magnifique. Laissant le spectateurs s'approprier ses images avec ses thèmes évident sur l'identité, l'humanité, la compassion, le qualia... mais sans en définir nettement les contours. Bref, comme quoi il suffit juste d'un peu de temps et d'expérience pour réévaluer une œuvre.

Annotation :

Un film aux acteurs brillants, oscillant entre l'histoire romantique touchante et solaire et le thriller haletant. Une critique de la Corée par ces deux personnages masculin principales où leurs rivalité et le conflits qui les habite n'est jamais explicite mais brûle à l’intérieur, le film est traverser par cette brûlure froide qui ne laisse pas indemne. Un film qui questionne notre rapport à la réalité, au vrai et à la place de l'art dans cela. La palme d'or oublié !!! Enfin ça c'est ce qui disent les critiques moi je me suis surtout fait chié, mais j'admet avoir put passer à côté du film.

Annotation :

Contrairement à ce qu'on pourrait penser, je n'ai pas rien compris au film. J'ai perçus, je pense, les thèmes que le film abordait. La place de la morale dans la science, l'importance de la Nature pour l'homme, la petitesse de celui-ci dans l'univers, le fait qu'il ne pourra jamais pleinement comprendre le monde, sa place dans l'univers, son but ect... Puis certaine scènes on vraiment bien marcher pour moi par leurs ambiance (notamment la scène d'intro)
Néanmoins je mentirais si je ne disais pas que je me suis bien emmerder durant une majeure partit du film. Je pense qu'il faut être dans un certain état d’esprit pour apprécier l'ambiance de Tarkovsky ainsi que son rythme. Faut croire que je n'étais pas dans le bon état.

Annotation :

J'ai commencé Lynch avec ce film et ce fut la pire idée du monde.
En fait (ne connaissant pas l'univers de Lynch et la façon d'apréhender son cinéma) je n'ai pas du tout compris le sens du film et je me suis juste sentie bête en le voyant.

Je vais le revoir après avoir vu tout les autres Lynch et je pense beaucoup plus l'aimer.

Edit : Après avoir vu la majeure partie de la filmographie de Lynch la redécouverte de Mulholland Drive fut total. La fascination de certaines séquence, le plaisir de la perdition dans son univers et en plus cette dernière étape avant la transition pellicule-numérique de Lynch où malgré le fait que ce film soit en 35 mm on sent dans les effets, la patte, la lumière cee qui arrivera dans Inland Empire.
Malgré ça je reste moins fasciné par ce film que d'autres du réalisateur (Lost Highway, Eraserhead,...) peut-être est-ce dû au condition de visionnage, peut-être juste une affaire de sensibilité. Mais ce fut une redécouverte extrêmement bénéfique et qui confirme ce que je disais dans mon premier paragraphe, commencer par Mulholland Drive fut une très mauvaise idée.

Annotation :

Le film est magnifique esthétiquement, cette image froide, austère jouant sur le clair obscure avec ces noirs profond, avec ce visage de Depardieu juste sublime et sublimé par la lumière en homme d'église torturé. C'est une vrai claque la dessus.

Mais le problème (un peu comme Mulholland Drive) c'est que par les dialogues que j'ai trouvé complexes par leurs structures et par les mots trop lettrés pour moi qu'ils utilisent je n'ai pas bien saisie ce que le film voulait dire, alors qu'il semble très riche. Je me sens obliger d’interpréter et non de comprendre (attention ce n'est pas une mauvaise chose, il faut bien me désarçonner et le film y arrive très bien, juste je ne me sens alors pas à la hauteur pour aborder le film; que j'ai vu deux fois à la suite.) Ma note montre que ce ne fut pas une horreur non plus, mais avec l'adulation que lui porte certains je me vois obligé de dire que je suis passé à côté de ce film qui, effectivement, semble très grand. Peut-être trop grand pour moi avec les tares que j'ai dans ma culture cinématographique.

Edit : Redécouverte totale du film. J'ai pu être de nouveau ébahi par la qualité de la mise en scène et particulièrement par le traitement de la lumière tout le long du film. Du blanc laiteux au noire intense, avec cette nuit américaine vers le milieu du film. Mais cette fois-ci j'ai pu pleinement (au moins une partie) saisir la beauté et la subtilité intellectuelle et émotionnelle du film. Sur la recherche de la foi dans un monde perdu, une lutte sur la recherche du bon même dans ce qui semble être le mal.
Après avoir vu quasiment tout les Pialat je dois avouer, alors que je ne m'y attendais pas, que celui-ci m'a le plus touché, que ce soit esthétiquement comme intérieurement.

Annotation :

Je m'en branlais des perso et de ce qui allais leurs arriver. Mais je pense que en le revoyant j'accrocherais plus à ces losers pathétique mais amusant. Juste en le voyant j'ai pas accroché.

Annotation :

Je veux bien concevoir que cela fasse rire des gens. Mais moi voir une couille molle et une pètes burnes qui parle tout le temps en même temps. Cette meuf qui est sûrement l'un des personnages les plus insupportables que j'ai pus voir, moi ça ne me fait pas rire ça me les brises !

Annotation :

Malgré la beauté et la composition visuelle du film juste sublime ainsi que certains moment marquants (les apparitions des singes fantômes, la scène du poisson ou celle de la grotte étoilé) le film ma poliment ennuyer.
Je ne remet pas en cause sa qualité, juste que son rythme et son approche mon laisser de marbre.

Annotation :

Alors je reconnais volontiers à Moretti plein de qualitées. Son sens du cadre très bon dans Palombella, l'émotion qu'il sait amener avec subtilité dans Mia Madre, sa direction d'acteurs dont lui même auquel je n'ai rien à redire ainsi que ses multiples réflexions (sur la famille, le deuil, la solitude, la misanthropie, l'état du communisme en Italie ect...). Vraiment je ne peux nier que c'est un bon réalisateur. Néanmoins ce qui me gène c'est la rythme de ses films. Je ne serais préciser vraiment plus que ça mais il y a une rythmique proche des scénettes qui me perturbe et auquel je n'arrive pas à adhérez. Je reste donc durant le visionnage assez hermétique à ce que je vois malgré le fait que je vois toutes les qualités. Le seul film de lui que j'ai beaucoup aimé c'est Habemus Papam car cette rythmique sied bien au déambulation de Piccoli avec son introspection intérieur.
Même si je pense continuer à voir certains de ses films par période je crois que le style Moretti c'est pas pour moi.

Annotation :

Alors on m'avait vendu un film bouleversant, satyrique, nihiliste... bha bof. Alors oui il y a des réflexions sur l'incommutabilité, la froideur de la finance, des jeux de pouvoir, avec une relation père/fille intéressante ect... Mais je trouve que cela ne s'envole jamais. Je n'ai jamais vraiment rie, ni été spécialement mal à l'aise ou ému. Je reste toujours très loin du film et il ne me passionne jamais. mais vu la passion que le film peux déchainer je dois bien reconnaitre être passer à côté.
Par contre soyons sérieux c'est assez platement filmer là dessus je suis intransigeant.

Annotation :

À la fin du film je ne comprenais pas pourquoi on avait fait tant de bruit pour ce film. J'y voyais les intentions, la relecture du boogeyman, le renouveau de la peur qui vient ici non pas hors champs mais où la frayeur est directement devant le cadre (très bonne scène sur la plage d'ailleurs). Mais la sauce n'a jamais pris pour moi. J'y vois un film plus prétentieux et un peu bringuebalant sur ses séquences d'horreurs, frôlant trop souvent le ridicule sans atteindre le malaise. Mais avec des analyses d'expert et d'amis il est possible que j'ai loupé les lectures multiples que proposait le film (ne voyant que le propos très évident sur les MST). Ainsi qu'ayant été très peu réceptif à ses jeux acteurs très apathique. Il faudrait qu'un jour, d'ici quelques années, je le revoie pour lui donner une seconde chance.

Annotation :

J'aime généralement assez bien Dumont et je me lançais assez confient dans son incursion dans le comique.
On a là encore tout ce qui fait le charme de Dumont, sa photo splendide qui magnifie ses plages du Nord, ses acteurs aux gueules et jeux si particuliers. Il ramène tout son univers dans ce film et de ce côté là je n'ai rien à redire.
Par contre sur l'humour on ressent clairement l'influence de Tati... et comme vous pouvez voir dans cette liste c'est pas ma tasse de thé. Le guignol, les répétitions à outrance, les bruitages et l'utilisation du corps des acteurs comme vecteur d'humour. Tout ça fait que ce fut plus pénible qu'amusant. Me sortant généralement du film. C'est juste un type d'humour auquel je n'adhère pas.

Annotation :

Une utilisation de l'épure et de la contemplation du temps avec une telle radicalité durant tout le métrage ne peut que diviser.
Certaines séquences ou plans marquent durablement la rétine, et donnent en plus une forme de beauté métaphysique dans la dilatation du temps qu'ils offrent. Je pense notamment à la mort du pêcheur, le passage dans le tunnel qui sépare le film en deux parties ou bien à cette séquence d'introduction jouant sur les contre-jours vraiment sublime.
Mais le reste du tout bordel que c'est loooong. Même si je n'ai pas tout le temps été hermétique le film m'a très souvent décroché par son rythme, un chouilla trop, extrême dans la lenteur.