Halloween 2023

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1er octobre.

Pas assez sérieux et effrayant pour vraiment marquer les esprits, ni assez fun pour être un nanar divertissant, je lui préfère le remake d'Alexandre Aja qui, sans être un chef d'œuvre, était de mémoire un peu plus efficace. Cela aurait été intéressant de creuser le background de ces psychopathes attardés, dont l'apparence d'hommes des cavernes peine à convaincre. Heureusement que les chiens étaient là !

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1er octobre.

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2 octobre.

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3 octobre.

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4 octobre.

Inégal mais surprenant, surréaliste mais savoureusement sanglant, sans parler de ce final complètement dingue, bordélique mais assumé... et surtout, quel décolleté, ma parole !

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5 octobre.

Atroce, répugnant, violent... Difficile "d'aimer" ce film choc de Gaspar Noé, qui présente sans concession ce que l'homme peut faire de pire, avec en prime une caméra très capricieuse. J'ai trouvé la chronologie inversée intelligente : elle vient d'abord nous perturber en nous plongeant dans une horreur brute créant une forte animosité envers l'un des personnages, avant de nous ramener à un calme salvateur permettant un certain recul. Cette explosion de violence peut paraître vaine et inutilement explicite, mais elle décrit une réalité tragique bien présente dans notre société. Chapeau aux acteurs car ce sont là des rôles bien difficiles à interpréter...

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7 octobre.

Un remake américano-japonais réalisé par le même réalisateur que l'original, voilà qui n'est pas banal ! Certes, les personnages sont presque tous américains et on perd un peu le côté underground du film de 2000, mais cela reste efficace avec une approche moins labyrinthique, peu de temps morts et certaines scènes bien effrayantes ! Les sauts dans le temps créent un rythme intéressant même si l'on découvre la menace dès le début (toute la question étant de savoir pourquoi cette menace existe). Dommage que la scène finale, parfaitement inutile, tombe dans la facilité du genre. A choisir, je garde quand même une petite préférence pour l'œuvre originale, plus obscure mais également plus authentique et dérangeante.

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7 octobre.

Un déferlement d'horreur en vue subjective, mettant en scène une influenceuse dont l'excentricité agace autant qu'elle divertit. En termes d'épouvante, on peut dire que le spectateur est servi, mais j'aurais aimé avoir quelques indices pour comprendre la raison de toute cette folie et une caméra un peu moins capricieuse durant les scènes d'action...

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8 octobre.

Un slasher divertissant, fun et décomplexé, pour les amateurs du genre. Le petit plus : une sorte de croisement entre Retour vers le Futur et Scream, avec une ambiance eighties sympathique.

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8 octobre.

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9 octobre.

Il m'a fallu plus d'une heure pour comprendre pourquoi ce film était catégorisé dans le registre de l'épouvante-horreur, là où je n'y voyais d'abord qu'un thriller psychologique. Maintenant, je comprends mieux. En fait, cette histoire fait bel et bien peur, mais pour des raisons très différentes de celles qu'on imagine à la lecture du synopsis. Je ne vais rien en dire car cela gâcherait la surprise, mais je recommande vivement :p

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10 octobre.

Il existe à ma connaissance très peu de westerns horrifiques (je ne vois en fait que Bone Tomahawk), mais en voilà un qui vaut le coup d'œil ! La première partie est excellente, démarrant comme un western somme toute classique et induisant le spectateur en erreur avant de passer aux choses sérieuses. Le jeu de Robert Carlyle, très bon, rend son personnage particulièrement charismatique. On part ensuite vers quelque chose de plus fantastique, au parti-pris assumé mais qui peine un peu à convaincre. Qu'importe, le film offre un chouette divertissement et est même plus profond qu'il n'y paraît à travers la vision qu'il offre d'une Amérique assurément "vorace". En revanche, l'affiche du film ne lui est pas vraiment fidèle : si on a bien affaire à une histoire d'horreur, l'aspect gore que laisse présager ce doigt coupé n'est pas si présent que ça.

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11 octobre.

Film très inégal ! Le début et la fin sont réussis, anxiogènes à souhait et bien réalisés, à tel point que Wes Craven rendra hommage à la séquence d'introduction dans son célèbre Scream. Malheureusement, le film peine à convaincre durant la longue heure qui sépare ces deux scènes, se perdant dans une pseudo-enquête assez peu intéressante et manquant cruellement de rythme (à part un ou deux moments qui, heureusement, viennent réveiller le spectateur). Une chose m'a finalement poussé à mettre 6 plutôt que 5 après le visionnage : je n'ai pas pu m'empêcher d'aller vérifier que toutes mes portes étaient bien fermées avant d'aller me coucher...

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12 octobre.

Qu'arrive-t-il lorsqu'un couple d'imbéciles en perdition décide de faire du camping en pleine nature australienne ?
Réponse A: Ils servent de repas à un requin façon Dents de la mer
Réponse B: Ils se font kidnapper par des extraterrestres
Réponse C: Ils s'entretuent sous le regard effaré d'un opossum
Réponse D: Ils se font étriper par un fou furieux qui déteste les touristes
Faites vos jeux, rien ne va plus.

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13 octobre.

Ce qu'on ferait pas pour être dans le thème, franchement... Enfin, c'était moins catastrophique que ce que je craignais. Le vrai problème de cette saga, c'est qu'on a toujours l'impression de regarder le même film !

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14 octobre.

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26 octobre.