Films vus en 2017, ou comment des inconnus, que je ne connaîtrais, hélas, jamais. Ont pu me faire ressentir des émotions, bonne comme mauvaise, c'est surement ça la magie du cinéma

Annotation :

[Coup de tête]

Je me suis fait chier

Sentiments ressentis: Dédain, agacement, impatience.

Annotation :

[Grosse surprise]

De mes yeux les larmes ont coulé

"La beauté est la nourriture de l’œil et la tristesse de l'âme"
Proverbe Allemand

"On peut construire une montagne en rassemblant des grains de poussière."
Proverbe Coréen

Sentiments ressentis: Tristesse, colère, soulagement, angoisse, injustice, compréhension.

Annotation :

[Un envie depuis un moment]

Étrange...


Sentiments ressentis: Malaise, colère, angoisse, incompréhension, satisfaction.

Annotation :

[Un classique ?]

C'est clair et celui qui me dit le contraire, ben, je m'en tamponne la nouille avec une pelle :)


Sentiments ressentis: Angoisse, incompréhension, respect, envie

Annotation :

Fallait bien que je regarde de la merde, un moment ou à un autre... Mais merde Ewan, que s'est-il passé....


Sentiments ressentis: Colère, déception, impatience, dédain, méprise.

Annotation :

Bon j'avoue, il n'est pas aussi bien que ça, mais ça se regarde sans trop de nausée, du coup, c'est déjà pas mal.

Annotation :

Je sais, ce n'était pas utile de le voir....

Annotation :

[Merci Unknown Movies et InthePanda]

Que dire de plus, va le voir: [VF]

https://www.youtube.com/watch?v=dbrwI9SYsXE

Annotation :

Ouais, j'ai bien fait de pas non plus trop espérer, même si je ne suis pas insensible au charme de Zoé Kazan, elle ne me rends pas aveugle à ce point.

Annotation :

Fallait que je relève le niveau, autant sur la qualité des films dans cette liste, que pour le cas Ewan McGregor...
Et c'est un putain de bon film !

Annotation :

Ce film est particulier, je sais pas pourquoi, j'aime bien ce qui est particulier ce qui sort de l'ordinaire morne et grisâtre.
Et ce film de par seulement l'idée de base de son les, il ne pouvait que passer devant mes yeux, un jour ou l'autre. Il a encore plus bizarre, celui-ci reste encore soft.

Pour un premier long-métrage, Daniel Scheinert et Dan Kwan, s'en sortent à mes yeux relativement bien. Et qui pose de bonne question, en tout cas, je m'en suis posé grâce à leur film.

Qui ne se sent pas parfois gêné d'être soit dans cette société où tous nos actes, nos moindres faits et gestes, sont espionné, juger critiqué. Ou nous sommes sans cesse à la recherche du regard des autres pour se sentir exister. Qui n'a jamais eu le sentiment, même pendant une fraction de seconde, de ne pas ce sentir à sa place.

Suis-je le seul à être touché quand je voie quelqu'un d'autre que moi, s’inventer une vie, une autre réalité, pour échapper pendant un laps de temps salvateur, pour oublier les problématiques de notre société, de notre famille, de notre quotidien, au point d'avoir juste l'envie de partir loin sur une île déserte et de ne plus revenir.

Apparemment, Hank (Paul Dano) l'a fait, même s'il le regrette amèrement, au point de vouloir se donner la mort. Trouverons-nous tous notre Many (Daniel Radcliffe) pour nous sauver de notre destin funeste, ou alors, avons-nous juste besoin d'un substitue pour trouver la force que continuer à vivre sans participer à cette mascarade.

La question est alors, ou se trouve notre place, si nous n’arrivons pas à la trouver parmi nos semblables et si elle n'est pas non plus loin d'eux .
[Je pose surtout la question à ceux qui ont aussi ce sentiment, si vous ne l'aviez pas estimez-vous heureux, même si, j'imagine vous devez avoir vos propres complications.]

Enfin bref, un film qui me pose certaines problématiques, et qui me fait me poser des questions et de me remettre en question est à mes yeux un bon film, dans le principe, si ce film me reste en tête encore un jour après l'avoir vu, c'est un bon film.

La question, la plus importante de toute, qui n'a jamais lâcher une caisse en public ou juste l'envie de le faire ?

Annotation :

Je n'ai pas mis 5, parce que Simon Pegg, mais bon ce n'est pas le film que je te recommanderais si on discute, vraiment pas.
J'hésite à le mettre dans une autre liste, on verra bien....

Annotation :

Ah...Tim... Je te souhaite un jour de refaire un putain de bon film, tu le mérites vraiment, mais là, je te suis plus

Annotation :

Les peurs enfantines qui peuvent aussi atteindre les adultes, ou comment dire, que nous ne sommes jamais entièrement des adultes, car il reste toujours un part d'enfant en nous.

Certes le film n'est pas le meilleur que j'ai vu, et que je dois certainement le surnoter, mais, de par mon expérience de vie personnelle, ce film représente un parc de moi. Et je ne peux qu'apprécier la qualité du travail et de la diversité des sentiments que Jennifer Kent, m'a fait ressentir grâce à son film.

Le fait de vouloir le meurtre du gosse dès les premières minutes, la pitié pour la mère, l’exclusion du monde extérieur, au point que cela deviennent gênant quand d'autres personnes franchisent le seuil de la porte.
Le côté sombre de la mère qui ressort de plus en plus, le fait que je change d'avis et devient emphatique à l'égard "du petit".

Et surtout geste que j'ai fait pendant longtemps dans ma vie, mettre ma couette au-dessus de ma tête, parce que tout le monde le sait, les couettes ça nous protège de tous, hein.

J'aime particulièrement le livre, je le trouve, vraiment beau et malsain en même temps, et petit plus aussi pour la scène ou le Babadook est sur le plafond et rentre dans sa bouche, ce qui m'a fait me remémorer un rêve que j'avais fait l'année précédente, moment bien badant de mon existence.

Oh et puis ce "Babadook, dook, dook, dook" putain ça à réveiller mes peurs enfantines les plus profondes

Annotation :

Voir une comédie romantique, alors que tu es célibataire, c'est un peu comme prendre un couteau et l'enfoncer dans sa cuisse à chaque fois que tu commences à maitriser la douleur.

C'est douloureux et pas vraiment nécessaire....

Annotation :

[Un envie depuis un moment]

Étrange...


Sentiments ressentis: Malaise, colère, angoisse, incompréhension, satisfaction.

Annotation :

Sentiments ressentis: Doute, colère, incompréhension, tristesse, stupeur, respect, pesanteur, dégout, révolte.

J'écrirais possiblement quelque chose, mais pas ce soir...

Annotation :

Espoir, crainte, mélancolie, stresse, malaise, tristesse, oppression, regrets

Comme j'avais déjà écrit un pavé hier, et que mon charmant Pc a décidé de planter à ce moment précis, me faisant perdre au-delà de tous ce que j'avais écrit, même aussi tous effervescence émotionnelle dont je souhaitais vous faire part, pour ceux qui lisent en tout cas

Je ne suis naturellement pas objectif lorsqu'il s’agit de "romance dramatique", je ne sais pas vraiment le pourquoi, j'imagine que c'est parce que malgré mon jeune âge, j'ai une profonde mélancolie en moi. Comme je l'appelle ma mère, mon océan, sur lequel, mon bateau tangue au moindre remous. Je suis aussi fragile qu'une feuille et pourtant parfois plus dur que la pierre, ce n'est pas par choix, juste un constat

Et ce film m'a fait ressentir la feuille de verre qui me sert de cœur, mes yeux ne pleurent toujours pas, mais je n'ai pas non plus une pierre à la place cœur. Pour plusieurs raisons, comme je fais de la photographie en amateur, j'ai toujours eu une très grosse préférence pour le noir et blanc. Je ne sais si ce n'est pas facilité, ou juste par réelles ressenties "artistique" et le fait que "Blue Jay" prend justement ce partis pris, ces 80 minutes ont pour moi ont été un enchainement de photographie mémoriel

Comme je le disais plus haut, je suis d'une nature mélancolique, au point que parfois, je regrette et vis dans mes souvenirs d'une relation, même si je n'ai connu la personne que pendant deux mois de mon existence. C'est rare, mais ça veut aussi dire que cette personne à fait vibrer quelque chose de profond en moi. Et par la même occasion, les regrets de l'avoir perdue n'en sont que plus terribles. Et ce film, à cette base-là, pire, parce qu'ils se sont profondément aimé, le premier amour est certainement le plus douloureux. ce qui me fait arriver au point suivant et pas des moindres. Que fait lorsque l'on se revoit ? Si bien sûr un jour on se revoit.

Sincèrement l'option de la fuite et très clairement très alléchante, mais à quoi bon fui, on ne peut réparer le passé, à la rigueur on en discutait, puisque l'aigreur et la rancœur sont passées, en l’occurrence pour eux depuis 20 années. La seule chose qui reste vraiment dans le temps, lorsque l'on aime vraiment, c'est l'Amour, l'affection qui fait que l'on a accepté cette personne dans notre intimité, lui partager ces moments et les crée et que l'on ne pourra revivre avec personne d'autre.

Ceux qui n'y sont pas sensibles, n'ont jamais vraiment aimé.

Annotation :

Tension, impatience, compréhension, sympathie, malaise, décompression

C'est étrange à quel point parfois, sans voir pourquoi, l'angoisse peut vous prendre de façon prenant et consciente, serait-ce à moment que vous comprenez que pendant tout le film, elle était déjà présente. Susjacente, dans l'ombre de votre propre conscience et qui au fur et à mesure que le temps passe, elle s'immisce plus profondément, mais aussi de façon plus visible, prenant, suffocante, au point que l'envie de faire "pause" vous prend.

Cette lancinante mise en place des choses, qui peut paraître pour certains comme une langueur inutile, fut pour moi crucial. Je n'ose imaginait le film sous une autre forme, je ne dis pas que c'est un chef-d’œuvre, il n'en a pas la prétention et c'est ce qui fait que pour moi, "The Battery" est un bon film, avec un pôle positif et un négatif, pour que la machine puisse avancer. Je me suis laissé pris, et le choix des musiques est satisfaisant, sincèrement, je n'ai pas grand-chose à dire de mal.

Il y a peut-être la fin, qui m'a légèrement laissé sur ma faim, mais je m'aperçois de plus en plus qu'une fin, c'est compliqué à maîtriser et que toute conclusion, fait vraiment penchée injustement la balance pour dire si un film est vraiment bon ou non.