En 2019, j'ai vu (et revu)...

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01.01.2018
(Second visionnage)

Pourquoi ne pas commencer l'année avec un film qui remonte à l'enfance que je n'avais encore jamais revu ?
Un film méta, qui joue sur les clichés des films d'action des années 80, qui parle autant de la place du cinéma dans nos vies que de celle du spectateur dans la magie que celui-ci opérera sur tout le monde, un film sur un héros qui va devoir devenir un héros au delà de son univers de films pour devenir un héros de la vraie vie. Et en plus c'est super drôle et les scènes d'action sont géniales !

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01.01.2019
(3ème visionnage)

Considéré tantôt comme un navet, tantôt comme un nanar, tantôt comme un bon film, Commando est un film d'action étonnant.
Certes, il est l'incarnation filmique de toute la vague d'actionners reaganniens des années 80, avec son héros virilement musclé et jamais avare en punchlines savoureuses (VF obligatoire), ses méchants très méchamment vilains qui prennent en otage la fille du héros, ses fusillades débiles où t'as l'impression que Schwarzy massacre l'équivalent de la population du Costa Rica armé d'une mitraillette et d'un bazooka, son combat de fin crypto-gay, sa BO au synthé,...
Tout est là, et par je ne sais quelle sorcellerie, tout s'harmonise, tout se mélange parfaitement, ce qui donne un film badass, couillon mais pas dupe et très jouissif !
Pas le meilleur Schwarzy, mais putain, foncez !

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01.01.2019
(Second visionnage)

Un Schwarzenegger très secondaire, soyons honnête, mais une série B sympathique qui vaut surtout le coup pour 3 scènes : Celle où Schwarzy se bat contre un avion en vol avec un flingue, celle où il se bat contre un crocodile et celle où il dégomme une armée de mercenaires armé de 2 canons high-tech de la mort. Des moments bien marrants qui méritent le coup d’œil.

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02.01.2019
(Second visionnage)

Un film qui vaut surtout le coup pour son futur dystopique complétement barré et ses combats contre les méchants Traqueurs très hauts en couleur.
Mineur dans la carrière d'Arnold, mais très sympathique.

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02.01.2019
(5ème visionnage)

Mon. Crom.
Plus je revois ce film, plus je le trouve incroyable.
Quelle puissance ! Quelle musique ! Quel souffle épique se dégage de cet œuvre.
Schwarzenegger a trouvé en Conan, avec le Terminator, son rôle le plus marquant, le plus charismatique et le plus légendaire !
Quelle œuvre, quelle œuvre !

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02.01.2019
(Second visionnage)

Je suis pas un énorme fan du film, mais 'faut avouer que Verhoeven a pondu une tuerie. Et y'a Schwarzy, que demander de plus ?

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03.01.2019

On rêve tous qu'à l'instar de Stallone avec Rocky Balboa et John Rambo, Schwarzenegger nous offre un ultime baroud d'honneur avec un possible et tellement alléchant Conan 3, mais n'y ayant (pour l'instant, on l’espère) pas accès, on se contentera du Dernier Rempart.
Certes un film d'action assez basique, mais bien maitrisé, haletant, à la réalisation plus que propre et avec un combat final juste jouissif.
Schwarzy a beau avoir passé la soixantaine, il reste un super-héros des temps modernes !

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04.01.2019

Autant les autres films de Schwarzenegger, on les garde en mémoire pour plein de raisons, autant celui-ci... Tellement vide, tellement plat, je n'ai aucune envie de m'en rappeler...

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05.01.2019

Mon dieu. Pauvre Arnold. S'embarquer dans un truc pareil, c'est pas de chance quand même...
Alors certes, ce sous-Conan féminin dans la droite lignée de Conan le Destructeur est vraiment pas terrible, avec son actrice principale molle et mono-expressive, son ton plus enfantin qui saoule (le gamin me donne des envies de meurtre !), sa méchante naze et certains costumes et décors complétement pétés.
Toutefois, il compense cela par une très bonne BO signé Ennio Morricone (même si elle est parfois mal utilisée), une direction artistique sympa et quelques scènes de combats vraiment pas dégueux.
C'est clairement un mauvais film, mais il n'est pas irregardable.

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05.01.2019

Vous rêviez de voir Schwarzenegger jouer un Terminator russe qui va défoncer un trafiquant de drogue soviet' caché en Amérique durant la fin de la Guerre Froide ? Double Détente l'a fait.
C'est un buddy-movie très classique, mais ça se regarde bien.

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05.01.2019
(Second visionnage)

Un film de comédie-action réalisé par James Cameron et avec Arnold Schwarzenegger et Jamie Lee Curtis, ça fait très envie.
Dommage, le résultat n'est pas à la hauteur des attentes.
True Lies n'est pas un mauvais film, loin de là, il est drôle, le couple Schwarzy-Curtis est touchant, certaines scènes d'action sont très impressionnantes (comme cette scène de destruction de pont),... Mais j'avoue avoir été déçu. Ce n'est encore une fois pas un mauvais film, mais venant de Cameron, je m'attendais à mieux.

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06.01.2019
(3ème visionnage)

La chose la plus critiquable avec Ong-Bak, c'est son scènario et son coté moralisateur très très forcé. Car dans ce film, le héros est noble, pur, il vient de la campagne et pratique les arts-martiaux, mais uniquement pour faire triompher la justice contre les méchants mafieux citadins qui boivent, fument, se dopent et sont avides d'argent et de pouvoir. Et puis je suis certain que Bouddha c'est cool, hein, mais y'a des moments où j'ai eu l'impression que le film me faisait du prosélytisme, à force.
C'est un peu lourd à la longue, mais heureusement, le film est avant tout un film de bagarre.
Et les combats et les cascades sont très très impressionnantes. On sent que quand les méchants se prennent des coups, les cascadeurs se les sont pris pour de vrai, que quand Tony Jaa fait une cascade stylée, il l'a faite pour de vrai, sans trucage. Ca donne au film un coté plus authentique, plus organique au scènes d'action. Je kiffe voir Tony Jaa tabasser des gens dans ce film !

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06.01.2019

A quoi bon appeler un film Ong-Bak 2 alors qu'il n'a aucun rapport scènaristique avec le premier ?
Surtout que le scènario est vraiment pas terrible, il se complique la vie pour rien. La structure aurait pourtant été simple : Gentil perd famille et est élevé par des bandits, devenu grand, il cherche à se venger du chef des bandits. Point. Et ça sert à rien de nous sortir des faux suspenses pour des révélations que l'on a vu venir depuis le début du film.
Pour autant, est-ce que le film est nul ? Non, ses excellentes scènes de combat compensent heureusement ses énormes lacunes scènaristiques. Des combats certes plus fantasistes que dans le premier film, mais toujours magnifiquement chorégraphiés et inventifs (malgré des bruitages parfois tout pétés).
SI l'on passe son histoire abracadabrante, Ong-Bak 2 est une bonne suite.

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07.01.2019
(Second visionnage)

Si les 2 premiers Ong-Bak avaient des scènarii alambiqués qui se donnaient de faux airs complexes, L'Honneur du Dragon arrive à faire pire en ajoutant une couche de mièvrerie. C'est dingue de partir d'une base aussi débile que la quête d'un éléphant et qu'on essaye de faire passer ça pour une grande épopée épique.
Mais si l'on passe ce stade, les scènes de combats sont quand même vachement cools, mieux choregraphiées et filmées que Ong-Bak (cf. Le plan-séquence à la moitié du film), malgré une scène de course-poursuite en bateau au montage lamentable.
C'est toujours jouissif à voir, même si le scènar' hyper niais m'a rebuté...

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07.01.2019

On reprend la même et on recommence !
Scènar' pourri et naïf ? Check
Méchant caricatural ? Check
Héros très gentil au cœur pur ? Check
Gunfights qui me font dire que le réal' aime bien John Woo ? Check
Scènes de bagarre très funs ? Check
Tony Jaa ? Nope.
Ce qui fait que ce film restera en dessous des films de Tony Jaa.
Dommage, parce qu'il y avait de l'idée.

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08.01.2019
(... Disons 6ème ou 7ème visionnage)

C'est fou, j'ai beau connaitre par cœur la trame du métrage, connaitre chaque retournement de situation et chaque dialogue VF à la phrase près, il arrive toujours à me surprendre.
Tout le monde a tout dit sur The Thing, je ne pense pas avoir plus à en dire, si ce n'est que je me demande de plus en plus s'il ne mériterait pas sa place dans mon Top...

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08.01.2019

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09.01.2019
(Second visionnage)

Second volet de sa trilogie de l'Apocalypse après The Thing, Prince des tenebres n'arrive pas à la cheville de son ainé. Ce n'est pas un mauvais film, il a ses originalités, tout son concept du fils de Satan enfermé sous forme liquide, c'est une bonne idée. Mais on sent le manque évident de budget et y'a des fois où ça porte préjudice au film, notamment le maquillage du méchant, qui est vraiment pas ouf.
Le film arrive à dégager une ambiance lovecraftienne, un sentiment d’inéluctable éradication que ni la foi, ni la science, ni le courage, ni l'amour ne sauraient empêcher.
Au moins avec The Thing, John avait la politesse de nous offrir un semblant de petite étincelle d'espoir, ici non, nada, que dalle. Tu meurs, c'est la fin et va te faire foutre !

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10.01.2019
(Second visionnage)

Quelle sombre, quelle terrible dystopie.
Carpenter a une vision bien pessimiste de l’Amérique de demain.
Heureusement, il a aussi un Kurt Russell, et quand on a un Kurt Russell, tout devient magique !
Et cette fin, ce gros doigt d'honneur lancé au système !

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11.01.2019
(Second visionnage)

Film considéré par Carpenter lui-même comme mineur dans sa carrière, Fog est au final assez bien troussé.
Les scènes d'attaques des spectres sont bien fichues, cette histoire de malédiction et de vengeance est bien racontée, et la mise en scène de Carpenter crée une réelle tension.

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14.01.2018

C'est lent, c'est chelou, c'est fauché, pas bien joué, kitschouille, pauvre en musique, mais c'était sympa. Et pour un film d'étudiant réalisé avec 3 bouts de ficelle, Carpenter a fait du bon boulot !
Ah, et il faut noter la seule scène de dialogue existentiel entre une bombe et un humain de l'histoire du cinéma. Un moment unique !

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14.01.2019

Carpenter réalise avec Tobe Hooper un film d'horreur anthologique. Comme toujours dans ce type de format, les histoires sont inégales. Le premier segment est sans doute le moins original, mais il compense par une bonne montée en tension; le second est digne des Contes de la Crypte dans son coté barré et comique; le troisième a peut-être les personnages les plus intéressants, dont un Mark Hamill très sympathique. Et le fil rouge avec Carpenter lui-même jouant un psychopathe dans une morgue est cool.
C'est pas un chef-d’œuvre, mais dans le genre de l'anthologie d'horreur, il mérite le coup d’œil.

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15.01.2019
(Second visionnage)

La police de Mars et un tueur qui affrontent une armée de barbares ressemblant à des black-metalleux. Réalisé par John.
Sur le papier, ça a l'air cool. Mais ça l'est pas tant que ça...
Parce que Ghosts of Mars est un film plein de bonne volonté, mais je sais pas, les studios ont dû mettre la pression à John, parce qu'aboutir à un film, qui n'est pas irregardable, mais est trop aseptisé (on parle de barbares martiens qui prennent leur pied à s'automutiler et qui collectionnent les têtes décapitées, mais le sang est vraiment trop rare...), sa narration faussement non-linéaire ne sert à rien, il a des aberrations de montage inexplicables (les flashs lumineux, pourquoi ?), l'absence de la voix de Shepard de Mass Effect pour doubler Jason Statham en VF (mais ils compensent avec Natasha Henstridge doublée par Lara Croft),...
C'est pas un très très mauvais film, c'est plutôt divertissant.
Mais venant de Carpenter, je m'attendais à mieux...

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15.01.2019
(Second visionnage)

Avant le pas terrible Ghosts of Mars, il y avait le très sympathique Vampires.
Un film avec des vampires qui se font dégommer, embrocher, plomber, carboniser et empalés. C'est rigolo !
En plus la tchatche de James Woods ajoute une couche humoristique appréciable pour une série B comme celle-ci.

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15.01.2019
(3ème visionnage)

Ah, quel final !
15 ans après, Carpenter retrouve son personnage iconique Snake, interprété par un Kurt Russell toujours aussi impassible et toujours aussi magique !
Certes, les CGI accusent leur âge, mais le film offre des situations et des personnages plus variés et irréalistes que dans New York 1997. Le message politique est encore plus développé que dans le premier film !
Et cette fin ! Cette fin !
Un des plus grands moments de cinéma de ces 30 dernières années !

On rêve tous d'un Chicago ou Washington 2029 dans un monde post-apocalyptique !

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16.01.2019
(Second visionnage)

Si les trucages pour simuler l'invisibilité restent très bons, difficile de croire que nous sommes en présence d'un Carpenter. Il y a bien une critique gouvernementale, mais elle est trop sage, trop simpliste comparée à l'acidité d'un Invasion Los Angeles (alors qu'il est sorti 4 ans avant ce film-ci...) ou un New York 1997. Pas de personnages marginaux (à moins de compter l'homme invisible comme tel), pas de montées en tensions, pas de synthé.
Carpenter s'est conformé au système et s'est bien fait baiser '^'

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16.01.2019

Je connaissais la réputation de ce film (N°2 du top SC des nanars, quand même !), et je dois en effet constater la pathétique et hilarante nullité du métrage.
Acteurs, lumière, musique (j'aime bien Bach, mais 4 fois Toccata et Fugue, c'est un peu trop...), "effets spéciaux" (Ah ça, oui ils le sont !), costumes, et évidemment scenario, un énorme concentré de n'importe quoi constant sans aucune logique, mais très drôle.
Mais le moment le plus ptdr reste pour moi la première scène où le papy tente de plomber le "Cheval du Diââââble !" (scène qui revient genre 4/5 fois) , le montage est dégueulasse, le vieux tire dans tous les sens sans jamais recharger, lui et le canasson ne sont jamais ensemble sur le même plan, les plans du cheval semblent tournés à genre 8h du soir, ceux du vieux à minuit,... Bref, cette scène est tellement surréaliste de n'importe quoi qu'elle en explose la réalité elle-même !
Mon dieu, c'était un incroyable nanar !

Et puis cette réplique : "Je suis le maîîîître !!!"
x)

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16.01.2019
(Second visionnage)

La voiture tueuse qui aime le rock.
C'est fou comme à partir d'un concept pareil, Carpenter a réussi à en tirer un métrage qui lui est personnel, qui s'insère parfaitement dans sa filmographie.
Et c'est même un métrage qui n'a pas vieilli, les scènes d'attaques, de course-poursuite et même le combat final rendent très bien. Notamment les carambolages, qui donnent aux véhicules un coté très organique, à certains moments Christine parait un animal blessé, à d'autres un mastodonte en colère.
Le film n'arrive pas à la cheville d'un The Thing, mais il est très bon.

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17.01.2019

Un film sur un alien paumé sur Terre qui se fait aider par un personnage solitaire et triste alors qu'il est poursuivi par le gouvernement ! Et 2 ans après ET ! Quelle cocasse coïncidence !
En soi, le film est pas trop mal, Jeff Bridges joue très bien l'extra-terrestre n'ayant aucune notion des codes sociaux terriens et s'exprimant de manière très mécanique, et son évolution est bien amenée (quoique parfois un brin naïve), Karen Allen et lui ont une bonne alchimie, et c'est clairement ce couple qui motivera le spectateur à continuer le film.
Parce que bon, quand on a vu ET, on se doute de la suite des évènements et de la fin du métrage. Puis bon merde ! Un film de SF feel-good façon ET, ça sonne pas très Carpenter, 'faut le dire...
Encore un réal' qui doit payer ses impôts...

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17.01.2019
(Second visionnage)

Ah, Jack Burton, sans doute le film le plus allumé de la filmo de John.
Le plus drôle étant sans doute que Jack n'est même pas le héros de l'histoire, plus le quota occidental pour un casting presque exclusivement asiatique. Ca crée un décalage très sympa entre ce que l'on attendrait de la part de Kurt Russell, à savoir défourailler à tout va, et ce à quoi on a droit, c'est à dire un type un peu looser, paumé au milieu d'une histoire qui ne le concerne pas, mais diablement attachant vu qu'on sent qu'il déborde d'envie de bien faire. C'est juste dommage que les moments de bravoure du gus soient si rares. Kurt Russell qui dégomme des méchants au kung-fu, ça aurait été marrant !
Mais c'est pas trop grave, Jack Burton reste un très bon film.