Dans la peau d'un homme

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Dans la peau de Victor Frankenstein

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"Etonnante cette facilité de Marguerite Yourcenar à se glisser dans la peau de ses personnages, surtout masculins : Hadrien, Zénon, Alexis dans cet ouvrage ou Eric von Lhomond encore dans le coup de grâce.
Etonnant aussi chez elle cette faculté d'autopsier le processus de pensée de l'homme, au sens de mâle de l'espèce humaine, dans sa relation au monde, dans sa relation à l'autre. L'autre étant souvent féminin naturellement, mais pas seulement, tel Antinous pour Hadrien."

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Dans la peau de l'empereur romain vieillissant et malade en un long monologue plein de poésie

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Dans la peau d'hommes paumés à l'ouest de tout

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Dans la peau d'un journaliste à qui il ne reste que quelques mois à vivre : la dernière croisière

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Dans la peau de Lestat le blond vampire.

Louis est un personnage passif qu’Anne Rice a utilisé pour exprimer ses sentiments avant de le remplacer par Lestat en tant que personnage principal dans la suite des Chroniques des vampires."

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Dans la peau de Gabriel, photographe menant une vie solitaire à l'ombre du Dr Pierre qui orne le mur d'en face...

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Parle en "je" à travers Fitz une bonne partie de sa vie

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Dans la peau d'un Prix Nobel de littérature condamné à mort par un étrange cancer

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Dans la peau de Rico, gigolo en Haïti

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Sous la peau d'un homme se cache...une femme : la naissance du sentiment amoureux

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Durant toute une année La journaliste américaine a enquêté travestie en homme

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Dans la peau d'un homme de 65 ans qui réconforte sa belle-fille délaissée

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Dans la peau du narrateur en vacances, qui avec sa famille fait la rencontre d'Alice, une vieille dame qui va bouleverser sa vie

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" Pas facile pour la douce et gentille Jill de cohabiter avec un garçon incontrôlable. Sans compter qu'elle ne doit parler à personne d'autre que Jack de son étrange condition. En effet, chaque mois, juste avant ses règles, Jill se transforme en Jack, qui prend alors la relève de sa vie durant cinq jours, 100% mec ! "

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"Etre un homme c'est pouvoir dire à une femme de ne pas se faire de souci superflu"

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"Une femme pour écrire une histoire a priori plutôt masculine ? Rien à dire, car les descriptions sont souvent d’une grande richesse (le vocabulaire aussi) et très sensibles. Et puis, le côté scientifique de l’aventure est irréprochable, pas du tout négligé par rapport à l’aspect humain."

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"Marie Nimier se met dans la peau d’un homme à femmes pas très sympathique mais terriblement reconnaissable."

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"- Il y a certains moments, je regrette terriblement mon ami Hastings. [...] Dans les affaires difficiles, il était toujours à mes côtés et il m'a bien souvent aidé, oui, bien souvent. Il avait le chic de découvrir la vérité comme par hasard, et sans même s'en rendre compte, bien entendu. Il laissait échapper une remarque saugrenue... et c'était justement cette remarque qui me mettait sur la voie."

Merci Molloch

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"L'une de mes premières fiertés avait été mon prénom. Je n'avais pas été long à savoir (et ce fut LUI, il me semble, le premier à m'en informer) qu'Arturo est une étoile: la lumière la plus rapide et la plus radieuse de la constellation du Bouvier, dans le ciel boréal !"

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"Le vif intérêt que suscita dans le public ce qu’on appela, à l’époque, «L’Affaire de Styles», est aujourd’hui quelque peu retombé. Cette histoire connut néanmoins un tel retentissement que mon ami Poirot et la famille Cavendish elle-même m’ont demandé d’en rédiger le compte rendu. Nous espérons ainsi mettre un terme aux rumeurs extravagantes qui continuent de circuler. Je vais donc relater, sans m’étendre, les circonstances qui me valurent de m’y trouver mêlé. Blessé et rapatrié du front, on venait de m’accorder – à l’issue d’un séjour de quelques mois dans une maison de repos plutôt sinistre – un mois de permission."

Merci @cinemusic

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Description peu flatteuse par lui-même du héros, Mérivel, jeune médecin qui a abandonné pour un temps la pratique de la médecine pour se plonger dans la luxure:"J'ai une vaste bedaine, elle aussi tachée de son, bien qu'ayant été fort rarement exposée au soleil. On dirait qu'un vol de mites minuscules s'y est posé durant la nuit."

Merci m-claudine1

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"Nargesse BIBIMOUNE est originaire de la banlieue lyonnaise et étudiante en sciences-politiques. Elle a été découverte grâce à sa page Facebook dans laquelle elle raconte les péripéties de « You », le personnage principal de "Dans la peau d'un Thug", son premier roman."

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Ruth Rendell se met dans la peau de Martin Nanther, 45 ans, qui décide d'écrire la biographie de son arrière grand-père Henry Nanther fait pair héréditaire par la reine Victoria, titre dont Martin a hérité.

Quand Martin Nanther décide d'écrire la biographie de son arrière-grand-père, Henry Nanther, il ne se doute pas de ce qui l'attend. Médecin, Henry était spécialiste de l'hémophilie, maladie qui décimait alors les mâles de la famille royale. Ambitieux et brillant, il avait été fait lord héréditaire par la reine Victoria, titre que porte aujourd'hui son arrière-petit-fils. Peu à peu, alors que Martin interroge des membres de sa famille et retrouve des documents d'époque, la façade lisse de son aïeul se craquelle et les questions s'accumulent.

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"Sous la plume empathique et incisive de Pauline Clavière qui se met donc dans la peau de son personnage, Max,, c’est toute une galerie de personnages étonnants qui prennent vie. La jeune écrivaine a le don de brosser un portrait psychologique, une personnalité ; en quelques lignes on est embarqués. La prison apparaît comme une fourmilière, le point de convergence de plusieurs destinées, entre matons et codétenus ; on la perçoit très vite comme un personnage à part entière du roman."

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"Un livre sur la quête de l'identité où l'auteure s'amuse aussi à alterner ses personnages. Tatiana fait parler un homme qui fait parler une femme. Son héros est un homme qui est lui même écrivain mais qui écrit un roman sur une femme. Il a 27 ans en plein succès, son héroïne est plus âgée les cheveux poivre et sel..."

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L'auteure se met dans la peau de deux hommes : écrit à deux voix - celle d'Yves et celle de Jérôme - ce roman raconte avec pudeur et délicatesse ces êtres étrangers à eux-mêmes qui trouvent si peu de consolation dans les relations humaines.

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Isabelle Minière se met dans la peau d'Arthur, enfant puis adolescent d'une rare laideur.

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La romancière parle au nom de son héros : Zak

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Gladys Mitchell, dans ce roman, se glisse dans la peau d'un jeune garçon de 13 ans, Simon, dit Sim, en disant "je".