Choses vues et revues (2021)

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Vu avec une amie chère et en même temps que Porco Rosso.

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Le premier Miyazaki que j'ai vu, et c'est un film toujours aussi généreux.

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Vu très tardivement pendant le confinement, probablement le meilleur Miyazaki avec Mononoké et Le Château Ambulant. L'univers est très riche, le récit très bien mené.

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Un très grand film, peut-être le plus universel de Miyazaki avec Nausicaa.

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Mon Miyazaki préféré chez Ghibli (en incluant le dehors, il y aurait Cagliostro). Un de ses meilleurs films d'aventures, à la fois palpitant et conteplatif.

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Très grand film de SF, visuellement très réussi pour l'époque. Toujours un plaisir de se replonger dans cette adaptation très hollywoodienne, malgré la distance immense entre le film et le roman de Pierre Boule, bien plus fin et complexe.

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Au milieu de ce roman photo à priori très littéraire, on assiste à la naissance du cinéma... Et c'est grandiose.

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Premier contact avec Truffaut et j'ai beaucoup aimé ce que j'ai vu.

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Théâtreux oblige, j'ai adoré...

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Beaucoup d'amour pour ce film très imparfait, brisé par une production chaotique. Sur le plan formel, il est toujours aussi magnifique, mais le scénario et le rythme foutraque l'empêchent de décoller, ainsi que sa musique plagiant maladroitement de grands thèmes de Star Wars. Reste la scène d'introduction, grandiose et terrifiante, qui met en lumière l'horreur de la guerre comme Gundam ne l'a jamais fait ailleurs, et n'est d'ailleurs toujours pas parvenu à reproduire.

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Je suis malheureusement resté assez imperméable à la proposition. Reste le titre absolument magique du court et la performance d'un jeune Godard qui a vraiment envie de tirer son coup mais n'y parvient pas.

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Je pense que c'est le plus mauvais film de kaiju que j'ai jamais vu. J'ai voulu voir des géants, je n'ai pu contempler que le néant.

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Satoshi Kon était un très grand mangaka assassiné par un cinéaste encore plus talentueux et Perfect Blue, l'arme du crime, est si belle qu'on pardonne à la fois l'assassin et l'assassiné.

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Je m'attendais à rien, mais alors vraiment rien, et en sortant je me suis dis que j'avais vu un Dupieux très mineur. J'ai remis ça en perspective en constatant que je faisais des "taureaux" non ironiques avec des amis 3 semaines après.

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J'ignorais tout de Josep en allant voir le film, et c'est un très très bel hommage à un grand dessinateur.

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Je connaissais pas du tout Emmanuel Mouret, mais j'ai beaucoup aimé le principe de récits imbriqués et successifs qui remettent la situation en perspective. Les différentes romances fonctionnent bien, notamment grâce aux très belles performances des comédiens et comédiennes. Le marivaudage amoureux m'a beaucoup fait penser à ceux de certains héros rohmériens. Cela étant dit, c'est un film très littéraire, qui ne plaira probablement pas à tout le monde.

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Revu avec un ami.

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Une forme d'horreur assez particulière, qui me laisse assez perplexe. On voit venir la fin de loin, mais ça fait partie du jeu.

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Ambitieux et chaotique, il y a beaucoup de choses à dire su CCA. Formellement, c'est irréprochable et le combat final entre les héros de la saga est à la hauteur des attentes. Cependant semble amputé d'une première partie pour poser plus clairement les enjeux de la décision de Char, et se trouve marqué par l'absence de très grande figures de la saga (où sont Sayla et Kamille ?). Par ailleurs, les nouveaux personnages ont un sacré capital antipathique (Quess, entre-autre) : le film se concentre à la fois trop sur eux, en en faisant presque des protagonistes, mais pas suffisamment pour les rendre attachant ou pour rendre palpable la tragédie et l'effondrement moral qu'ils traversent. Par ailleurs, l'écriture, confuse comme toujours, de Tomino rend le métrage difficile à suivre. Il gagne cependant énormément à être revu avec une connaissance plus approfondie de l'univers et des personnages grâce à la densité et l'ambition de son propos.