Là où Bergman réussissait à tisser des tensions pathologiques et fascinantes entre ses personnages, Kormakur ne peut que les singer : montés sur des ressorts trop visibles, ses êtres récitent une partition mort-née.

Boudpu
5
Écrit par

Créée

le 21 juil. 2010

Critique lue 248 fois

Boudpu

Écrit par

Critique lue 248 fois

D'autres avis sur White Night Wedding

White Night Wedding
EowynCwper
5

Critique de White Night Wedding par Eowyn Cwper

L’âme scandinave au cinéma, on dirait qu’elle consiste à imaginer des problèmes… en imaginant qu’on n’en a pas. À en inventer de nouveaux qui sont en fait déjà là. C’est un peu le contraire de...

le 25 févr. 2020

White Night Wedding
Melopee
8

L'Islande qui fait rêver

Je peux l'affirmer sans me tromper, je suis certaine de ne pas avoir vu de films islandais de ma vie. Pour une première immersion dans les images, venues de là-bas, j'ai été servie. Autant vous dire...

le 30 juin 2016

2

White Night Wedding
Cine2909
3

Critique de White Night Wedding par Cine2909

Difficile de situer White night wedding qui a aussi bien des fulgurances de comédie que d'un drame sentimental. Tout au long du film, le réalisateur nous secoue avec des séquences de flashback...

le 8 janv. 2011

Du même critique

G.I. Joe : Le Réveil du Cobra
Boudpu
1

Critique de G.I. Joe : Le Réveil du Cobra par Boudpu

Arnold et Willy disaient, dans leur grande sagesse, qu'il faut de tout pour faire un monde. Et même s'il est important d'écouter son cœur, il est parfois nécessaire de mettre en branle le gros...

le 26 juil. 2010

10 j'aime

Un homme et son chien
Boudpu
2

Critique de Un homme et son chien par Boudpu

La nouvelle a déjà fait le bonheur de Michel Drucker : Jean-Paul Belmondo revient au cinéma pour un remake d'Umberto D. (De Sica, 1952), signé Francis Huster. Disons-le sans détour, et en l'absence...

le 26 juil. 2010

5 j'aime

Dans la ville de Sylvia
Boudpu
8

Critique de Dans la ville de Sylvia par Boudpu

Dans la ville de Sylvia pose son regard dans Strasbourg, ses terrasses bo-bohèmes, ses ruelles labyrinthiques... Et ses femmes. Le scénario est d'une sécheresse lapidaire qui effraie toujours un peu...

le 26 juil. 2010

4 j'aime