I do know what a good fuck is, you're little slut
Malgré une bande-annonce pas très vendeuse au premier abord, je découvre mon tout premier Araki avec White Bird, sublimé - une fois n'est pas coutume - par la sublime Eva Green et désireuse de retrouver Christopher Meloni après les illustres années de l'époque de la série Oz, de Tom Fontana.
Eh bien, en un mot ; pas mal. Pas mal du tout.
Le scénario ne se démarque en rien des autres histoires similaires où quelqu'un disparaît sans raisons, dans on ne sait quel trou paumé. Il y aura néanmoins un léger pic de suspense qui nous mène au dénouement de la fin qui survient un peu comme un cheveux sur la soupe. Bon, on va dire que ça passe.
Mais le bouquet final vaut vraiment le coup.
Eva Green une fois de plus sublime en mère de famille désespérée et bien engluée dans une crise de la quarantaine bien violente.
Je passe en coup de vent sur les jeunes acteurs et la protagoniste Kat que je découvre dans ce film. Belle sensibilité, mais la vraie star de ce film, est (en dépit de l'admiration que peut me susciter cette femme, BIEN ENTENDU) Eva Green.
A voir, sans pression.