60 ans après, West Side Story revient au cinéma. Un remake très travaillé qui vaut le coup.

Ma critique vidéo sur West Side Story (2021)


Après avoir parlé de l’original, il faut bien parler de son remake réalisé par un réalisateur très talentueux en la personne de Steven Spielberg. Il n’est pas nécessaire de vous parler de sa filmographie étant donné que vous connaissez tous ce réalisateur et plusieurs exemples de son excellente filmographie. En apprenant qu’il allait faire un remake de West Side Story, une des meilleurs comédies musicales qui existent, il n’y avait pas de quoi être inquiet. Au pire, on pouvait se demander ce qu’il allait changer par rapport à l’original mais pas de quoi se dire qu’il allait faire un mauvais long-métrage. Et puis, les comédies musicales sont bien mieux vues depuis la sortie de La La Land qui a relancé le genre (même si il y a aussi Sweeney Todd de Tim Burton qui a participé au retour des comédies musicales). Bref, est-ce que Steven Spielberg a réussi à apporté une meilleure version que la version de base ? Disons qu’il a fait un long-métrage au même niveau en apportant quelques petites différences intéressantes dans les idées. Malheureusement, il a aussi gardé quelques défauts de l’original.
Attention, il est probable que je me répète par rapport à ma critique de West Side Story de 1961, je m’en excuse d’avance si je me répète trop mais je voulais éviter de les comparer.



Positif




  • Tony (Ansel Elgort) est un ancien Jet qui a décidé d’arrêter et de travailler à la boutique de Valentina afin de se construire une vie et un avenir. Lorsqu’il rencontre Maria, dont il tombe follement amoureux, il veut juste vivre une vie heureuse avec elle. C’est un personnage principal intéressant à suivre à travers son développement, sa romance mais aussi par rapport à ce qu’il a déjà traversé. Contrairement à Riff, il a déjà été arrêté et il sait ce que Jet risque en continuant sur cette voie (malgré que ce soit un adolescent qui ne veut pas l’écouter). Bref, c’est un très bon personnage principal à suivre dans ce long-métrage.
    Maria (Rachel Zegler) est une jeune femme ravissante mais surprotégée par son grand-frère Bernardo. Malgré ça, elle rêve de pouvoir vivre comme une véritable américaine, surtout avec Tony dont elle est tombée folle amoureuse. Le fait qu’elle soit une des seules femmes de ce long-métrage à ne pas avoir peur de Bernardo (avec Anita) la rend déjà intéressante mais son amour pour Tony tout en voulant protéger son frère de ce conflit la rend très attachante aussi. Franchement, c’est un personnage très touchant à suivre dans ce long-métrage.
    Riff (Mike Faist) est le chef des Jets qui cherchent à reprendre le contrôle du quartier en montrant qu’ils font la loi face aux porto-ricains et en essayant de les chasser. C’est un adolescent très motivé qui prend son rôle de chef très au sérieux. Cependant, on sent aussi que c’est encore un adolescent qui ne réfléchit pas à ce qu’il fait, ce qui est un peu normal étant donné qu’un ado a besoin d’être guidé, ce qui ne doit pas être son cas. Après, c’est un personnage intéressant à suivre et il est plutôt attachant dans son amitié avec Tony.
    Bernardo (David Alvarez) est le chef des porto-ricains et il fait tout son possible pour gagner cette guerre face aux Jets. On voit qu’il agit bien comme un chef car il n’accorde pas sa confiance à n’importe qui et, malgré qu’il soit assez sévère avec sa sœur, c’est un homme qui pense au bien de sa petite-amie, de sa petite-sœur et de tous les siens. Après, c’est aussi un imbécile à certains moments mais ça reste un personnage qu’on comprend et qui fonctionne assez bien ici.
    Anita (Ariana DeBose) est la petite-amie de Bernardo et une amie très proche de Maria (comme sa mère). C’est une femme avec du caractère qui ne se laisse pas faire mais c’est aussi une femme attachante qui ne veut que le bien de Maria tout en rêvant d’avoir sa propre maison de couture. Un rêve admirable auquel on a envie de croire pour elle vu qu’elle ne se laisse pas faire.
    Chino (Josh Andrés Rivera) est un jeune homme timide et gentil qui est amoureux de Maria malgré que Marie ne ressente rien pour lui. En soi, il n’est pas méchant mais on comprend rapidement pourquoi Marie n’est pas attiré par lui (surtout vu ses « talents » en danse). Malgré ça, c’est un personnage qui a un développement très intéressant en fonction de ce qu’il va traverser dans ce long-métrage.
    Valentina (Rita Moreno) est la patronne de Tony mais c’est aussi une femme bienveillante qui pense au bien de Tony, on dirait presque une maman qui a voulu lui donner sa seconde chance parce qu’elle croit en elle. Franchement, comment ne pas s’attacher à une femme aussi adorable qui fait tout son possible pour aider Tony ? D’ailleurs, concernant le casting, elle est jouée par Rita Moreno, l’actrice qui a joué Anita dans West Side Story en 1961, ce qui est un très bon choix de casting. En effet, ce choix de casting renforce ce qu’elle a traversé et elle n’a pas envie que Tony vive la même chose. En la voyant, c’est presque comme si la version 2021 de West Side Story était la nouvelle génération et qu’elle est la mieux placée pour comprendre tout ce qui se passe.
    Anybodys (Ezra Menas) est considéré comme une fille par les Jets, c’est pour ça qu’ils la refusent dans la bande, alors qu’il aimerait l’intégrer tout en essayant de faire ses preuves. C’est un personnage qui se fait assez discret mais qui a son rôle à jouer à certains moments du long-métrage. La seule différence, c’est qu’ici ce n’est pas une femme qui joue un garçon manqué mais un acteur transsexuel qui joue un personnage transsexuel. Pourquoi pas, c’est une nouvelle idée intéressante pour développer le personnage avec son envie de rentrer chez les Jets.
    Le lieutenant Schrank (Corey Stoll) est un agent de police qui veille à la sécurité du quartier et qui cherche à ce que les Jets et les porto-ricains fasse la paix afin que les rues soient plus sûres. C’est un lieutenant qu’on comprend en se mettant à sa place, il ne fait que veiller à la sécurité des gens dans la ville et le conflit entre les Jets et les porto-ricains amène sûrement beaucoup de problème (si on se met de son point de vue). Après, il fait son travail sans se croire au dessus des lois pour rabaisser ceux qu’il traque, ça rend le personnage un peu plus humain.


  • Les Jets et les porto-ricains sont en pleine guerre de territoire, chaque camp le convoite. Ils profitent de la soirée du bal pour proposer un ultime combat entre les deux camps. Pendant cette soirée, Maria (petite sœur de Bernardo) et Tony (grand ami de Riff) tombent amoureux l’un de l’autre et souhaitent pouvoir vivre leur amour librement. Arriveront-ils à vivre leur histoire d’amour malgré le conflit entre les deux camps ? C’est une histoire intéressante à suivre pour savoir comment elle va se terminer et jusqu’où va aller ce conflit.


  • Le long-métrage démarre par la découverte du quartier et les Jets qui sortent de cachettes secrètes afin de retrouver les Porto-ricains et de s’en prendre à eux pour montrer que le territoire leur appartient. C’est une introduction intéressante entre les Jets et les porto-ricains car elle nous donne envie de savoir si cette guerre entre eux et jusqu’où ça pourrait aller, surtout que les deux camps semblent déterminés à gagner.


  • En terme de symbolisme, ce sont surtout ce que représentent chacun personnages pour d’autres. Maria pour Tony, Tony pour Maria, Maria et Tony pour Bernardo, Tony pour Valentina… Le seul point de symbolisme qui a été rajouté dans ce long-métrage est par rapport au pistolet de Riff (et qui change en fonction de qui a l’arme). En tout cas, le symbolisme est très intéressant à suivre.


  • Steven Spielberg a toujours soigné sa mise en scène et ce long-métrage ne fait pas exception. La mise en scène de ce long-métrage est sublime, tous les plans sont soignés et détaillés pour nous faire comprendre ce qui se passe et pour que la tension soit renforcée. Franchement, chaque séquence de ce long-métrage raconte quelque chose de magnifique par sa mise en scène.


  • Les musiques, en dehors des chansons, sont des belles musiques. Ce sont des très belles musiques qui arrivent à raconter ce qui se passe à l’image mais ce sont aussi des musiques qu’on a envie de réécouter en dehors du long-métrage. Certaines de ces musiques ne sont que des versions instrumentales des chansons mais ça reste des très belles musiques.


  • Concernant les costumes, ils sont d’assez bonne qualité dans l’ensemble. On a des costumes qui définissent assez bien les personnages tout en collant bien avec les années 60 et en jouant sur les couleurs des costumes. Franchement, les costumes ont été très travaillés, ça rend les chorégraphies plus éblouissantes.


  • Même si vous avez vu la première version de 1961, il y a certaines scènes et certaines choses qui arrivent à surprendre d’une manière intéressante. Vous aurez l’occasion de découvrir quelques nouvelles scènes, dont des évènements un peu inattendus mais qui développent un peu plus certains personnages.


  • Étrangement, la photographie de ce long-métrage est magnifique. Sincèrement, on a une photographie magnifique qui rendent le visionnage magnifique, tout en renforçant la mise en scène et l’importance de la lumière. Vraiment, la photographie est éblouissante et ça se voit, c’est magnifique.


  • Concernant le casting, en dehors de Rita Moreno qui a déjà joué Anita et joue maintenant la patronne de Tony dont on a déjà parlé, il est assez bien géré. Chaque acteur et actrice a bien été choisi pour correspondre au rôle qu’il joue. C’est un détail mais gérer le casting est déjà une qualité en soi.


  • Les chorégraphies ont été travaillées sur le moindre détail. En effet, ce long-métrage nous propose des chorégraphies impressionnantes qui nous montrent bien que les acteurs et actrices se sont donnés à fond pour les réaliser. Il y a de quoi être ébloui par ces magnifiques chorégraphies.


  • L’histoire de ce long-métrage se passe dans les années 50 et il faut admettre que la retranscription est assez belle. En effet, que ce soit par les décors, les costumes ou la photographie, on a vraiment l’impression que ce long-métrage se passe pendant les années 50.


  • La confrontation entre les Jets et les portoricains fonctionne très bien ici et ça se voit. Sincèrement, cette confrontation se découvre à un certain niveau mais plus le long-métrage avance et plus cette confrontation entre les deux camps devient de plus en plus dangereuse.


  • Question décors, ils sont magnifiques. Chaque décor de ce long-métrage est travaillé et nous offre des décors captivants à regarder. Que ce soit les coins de la ville en ruine, le magasin, la salle de bal, chez Maria… les décors vous plairont sans problème, un régal pour les yeux.


  • Il y a quelques petites scènes d’humour qui fonctionnent assez bien. En effet, on a parfois le droit à quelques petites blagues qui marchent assez bien en fonction des différentes situations, là où ce long-métrage arrive à garder son sérieux dans d’autres scènes.


  • La relation amoureuse entre nos deux protagonistes est intéressante. Elle démarre sur un coup de foudre mais plus le long-métrage avance et plus la relation se développe. Surtout qu’on sent bien que cette relation a un rôle central dans ce conflit.


  • Dans cette nouvelle version, on voit les blessures provoquées par les bagarres entre les deux camps. C’est une bonne chose de montrer les blessures qu’ils font car ça va avec les conséquences de leur bataille, même si c’est un détail.


  • Malgré qu’il n’y ait pas de nouvelles chansons, elles sont toujours aussi belles. Que ce soit dans le chant ou dans la chorégraphie, on a toujours des chansons de très bonne qualité qui donnent envie de les réécouter en dehors du long-métrage.


  • La réalisation de Steven Spielberg est magnifique. Quel que soit le plan qui nous est montré, il a été extrêmement soigné dans la réalisation, c’est un véritable plaisir à regarder. On sent toute la passion qu’il a mis pour réaliser ce long-métrage.


  • La fin de ce long-métrage est assez triste et assez belle à la fois. On va éviter de spoiler ceux qui n’ont pas vu ce long-métrage mais sachez que c’est une fin qui a du sens et qui mènera sûrement à un meilleur avenir pour les deux camps.


  • La tension pour les personnages dans ce long-métrage est réelle et elle se ressent bien. En effet, la tension est extrêmement efficace, on arrive à croire que cette guerre entre les deux camps pourrait provoquer pas mal de morts.


  • Le travail sur les lumières est impressionnant. Sincèrement, chaque lumière de ce long-métrage est de très bonne qualité et renforce la mise en scène. Comment ne pas être admiratif sur le travail des lumières de ce long-métrage ?


  • Sur le jeu d’acteur, il n’y a rien à dire, les acteurs et actrices sont excellents. En effet, quel que soit le rôle qu’on voit à l’écran, on sent que tous les acteurs et actrices de ce long-métrage s’investissent dans leurs rôles.


  • Il y a quelques évolutions intéressantes à suivre en fonction de ce qui se passe. Que ce soit Riff, Chino, Tony ou Maria, il y a pas mal d’évolutions à suivre qui auront lieu à cause de ce conflit.




Négatif




  • Soyons honnêtes, ce long-métrage a quelques différences et quelques nouvelles scènes en plus qui sont plutôt pas mal, mais pas grand-chose qui le diffère de la version cinéma. En fait, Steven Spielberg a réussi à donner une vie plus récente à West Side Story avec quelques idées mais il n’y a pas grand-chose qui le diffère de l’histoire originale. Peut-être que ça serait mieux passé avec des différences d’écriture dans les personnages mais bon, malgré quelques petites différences intéressantes (mise en scène, lieu et jeu d’acteur), quelques différences avec les personnages et évènements aurait peut-être été plus intéressant.


  • Un petit détail mais quand même un peu perturbant. Ayant le long-métrage en VF (il n’y avait pas de bonnes horaires pour le voir en VOST et il n’était que dans un cinéma à 30 km de chez moi), comment se fait-il qu’il n’y ait pas de sous-titre lorsque les porto-américains parlent Espagnol ? Sérieusement, c’est un détail mais ça aurait été bien d’avoir des sous-titres dans la majorité des moments où ils parlent Espagnol. Certes, je comprends l’Espagnol mais certains ne le comprennent pas, il faut penser à ces spectateurs là aussi.


  • Certaines chansons s’enchaînent encore un petit peu vite dans ce long-métrage. On a le temps de respirer entre deux chansons dans l’ensemble, mais certaines des chansons arrivent peut-être un petit peu trop vite par rapport à la précédente. Mais bon, c’est un détail et ce n’est pas trop grave.


  • Comme pour le long-métrage original, tout est travaillé mais il est difficile de ressentir beaucoup d’émotion devant ce long-métrage. Il est probable que quelque chose en moi soit mort pour ne pas avoir réussi à ressentir d’émotion en regardant ce long-métrage.



!!! PARTIE SPOIL !!!


Le personnage de Graziella n’apporte pas grand-chose. La voir être avec les Jets n’est pas un problème, même sur le fait qu’elle veuille éviter qu’Anita se fasse agressée par les Jets. Mais l’entendre dire « Avant Tony se confiait toujours à moi », c’est difficile à croire. Mais bon, comme c’est inspiré de Roméo et Juliette, on peut en déduire que Graziella est une conquête de Tony qui s’est imaginé que ça aurait pu être sérieux entre eux, moins qu’avec Maria en tout cas.


A la fin, Tony perd la vie à cause de Chino qui lui tire dessus alors que Maria le rejoignait pour pouvoir partir loin d’ici et démarrer une nouvelle vie. Encore une fois, on a le droit à une fin impactante qui va amener à une paix entre les deux camps, surtout avec Chino qui se rend sans faire d’histoire à la police après ce meurtre. Bon, on se demande ce que va devenir Maria après ça, mais ça reste une très belle fin quand même.


Les morts de ce long-métrage, Riff et Bernardo est montrée d’une manière plus impactante ici, notamment avec Anita qui va identifier le corps de Bernardo à la morgue. C’est un détail mais c’est intéressant de voir ce qu’à ressenti Anita face au corps de son petit-ami mort plutôt que de juste la voir rentrer de manière triste, surtout quand elle s’attendait à une belle soirée en amoureux à la place.


La rencontre entre Tony et Maria a, encore, lieu lors du bal. Cependant, cette fois ils se rencontrent sous une tribune, à l’abri des regards des autres avant que Bernardo ne les voient sortir tous les deux. Cette rencontre joue beaucoup sur les lumières et les acteurs mais elle est brillamment mise en scène.


Au final, ce remake de Steven Spielberg n’apporte peut-être pas de grosses différences de la version originale de 1961, mais il réussit à faire un très bon film en lui apportant quelque chose de neuf. On a une mise en scène soignée avec une superbe photographie et des magnifiques lumières, des acteurs et actrices très investis, des chansons toujours aussi belles, des magnifiques chorégraphies, une histoire intéressante et des décors de très bonne qualité. Après, il est vrai que ce remake n’apporte pas de grandes différences à l’histoire originale (venant d’un film excellent aussi, c’est difficile) et certaines chansons s’enchaînent encore un tout petit peu trop vite. Malgré ses défauts, ça reste un très bon remake à découvrir, même pour ceux qui ont déjà vu l’original. Personnellement, je ne regrette pas de l’avoir vu au cinéma et je vous recommande de le voir au cinéma tant que vous en avez l’occasion.

FloYuki
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le 19 déc. 2021

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FloYuki

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