La Galice jusqu'à l'hallali
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Veilleur de nuit, Lundgren souffre atrocement de solitude. Il vole un mannequin dans un grand magasin et vit désormais avec, l'imaginant comme la femme de sa vie. Le cinéma s'est souvent amusé avec les poupées gonflables, de Berlanga à Dupontel en passant par Kore-eda. Ici, c'est un peu différent, la poupée parle et marche dans l'imagination malade de celui pour qui elle est la seule personne qui lui accorde un tant soi peu d'attention (aucune connotation sexuelle dans leur relation). Au pays de Bergman et de Stridberg, la folie est chose sérieuse et la déchéance de Lundberg est terrifiante. Le film a, parait-il, servi d'inspiration à Bava, réalisateur de gialli, et son ambiance est assez proche de Psychose d'Hitchcock.
Créée
le 3 sept. 2019
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