C'est l'histoire d'un mec.
En fait non c'est presque l'histoire d'un mec.
Si vous voulez tout savoir sur la physique quantique et la théorie de la relativité à base de légumes et je ne parle pas de Stephen, foncez!
Tout est filmé en floutage, les dialoguistes n'ont surement pas su se servir de l'ordinateur de Stephen et une large place est donnée au regard dans le vide des trous noirs.
C'est mou du genou, et je ne parle pas de Stephen.
C'est l'histoire d'une chanteuse de chorale, d'une mère courage.
Et encore le métrage nous épargne les équations écrites sur un grand tableau noir avec un peu de musique pour dynamiser le tout.. ou est-ce le contraire?
La temporalité dépasse l'entendement, personne ne vieillit vraiment, on est perdu dans cette recherche du temps. Tout roule est la je parle de Stephen, de récompense en adulation. Mais heureusement la dernière scène nous aide à comprendre le fin mot de l'histoire ou est-ce son commencement.
Si vous voulez vraiment voir et savoir et apprendre sur Jane et Stephen et tout ce qu'il y a au milieu voyez plutôt Hawking un documentaire autobiographique de Stephen Finnigan (je ne le trouve pas sur SC).
Créée
le 30 mars 2016
Critique lue 268 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Une merveilleuse histoire du temps
Quand vous mettez le DVD de "Une merveilleuse histoire du temps" dans votre lecteur DVD (calme-toi c'est une métaphore), vous êtes en pleine cambrousse et vous avez deux chemins qui s'offrent à vous...
Par
le 1 févr. 2015
80 j'aime
14
Ok, je suis un peu dur avec ce film, c'est entendu. C'est pas si mal filmé, même si c'est très classique, mais on attend pas non plus une réalisation et un montage bien punk dans le carde d'un biopic...
Par
le 26 juin 2015
61 j'aime
16
Un destin extraordinaire suffit-il à faire un film extraordinaire ? C’est bien la question que pose Une merveilleuse histoire du temps, dont toute la fabrication – des plans, aux choix...
Par
le 19 janv. 2015
50 j'aime
6
Du même critique
Vu, revu, visto, rivisto, encore e ancora. Cinema Paradiso marque une belle nostalgie. Ma principale critique c'est justement que pour se terminer le film referme cette belle nostalgie en nous...
Par
le 18 déc. 2014
6 j'aime
La routine du bistrot, les petites combines et la joie des payes congés. Avec sa transhumance de masse vers le sud. Voila les Lajoie en parfaite synchronie poussée jusqu'au détail qui dérange déjà:...
Par
le 15 déc. 2014
6 j'aime
4
On connait tous Don Quichotte. Mais oui, c'est l’hurluberlu des moulins à vent. Lui et son idiot de palefrenier Sancho Pancha, le tout monté sur Rossinante la mule de service et en quête d'aventures...
Par
le 3 févr. 2015
5 j'aime
