C’est fascinant de voir cette matière qu’est l’image, se concentrer autant sur son impact hypnotique. Là où Tropical Malady arrive à ses fins, c’est dans cette manière qu’il a de faire basculer son style naturaliste vers l’onirisme. L’oeuvre, dans ses deux parties distinctes, est recouverte d’un calme ambiant et d’une caméra qui flotte autant dans une faune et une flore apaisantes que dans un microcosme urbain bouillonnant de lumières et de sons. Entre cette histoire d’amour... Lire la critique de Tropical Malady