Toy Story est le premier long-métrage entièrement en images de synthèse en 1995. L’animation a un peu vieilli, si les jouets en plastique rendent bien, les humains et les décors font jeux vidéo. Ce long-métrage n'est plus tout jeune, mais toujours aussi sympathique, mais comment un adulte peut, il regardait une histoire de jouet qui parle ? Le duo woody /buzz , la musique , l'histoire , les répliques entre les jouets avec une tête d'extraterrestre enfermer dans la machine à qui voue un culte au " graaaapiiinnnnnnn… ", le monsieur patate qui souhaite une madame patate (Madame Patate ! Madame Patate ! Madame patate ! Ben quoi on peut rêver non ?), un buzz qui se croit être réel et cette phrase culte " vers l'infini et l'au delà ", à Woody ce cow-boy qui n'a de cesse de répéter : " tu n'es qu'un jouet " on sourit et puis ces petits clins d'œil la montre de Mickey accroché sur le mur lorsque Buzz euh ...Vole (Woody : j’appelle pas ça voler, j’appelle ça tomber avec panache.) , la boule qui roule sur Buzz rappelant Indiana Jones, le salut Vulcain référence à Star strek toujours de buzz et celle qui m'a fait sourire l'autoradio dans la voiture de la maman D'Andy qui passe Hakuna Matata. Certes, j'ai trouvé le début un peu lent et je n'ai pas été charmé par les musiques si ce n'est : je suis ton ami, mais j'ai hâte de voir ce que me réserve le second volet.
Conseille à partir de 5 ans, les thèmes abordes sont : quête identitaire, jalousie, agressivité, l'amitié, ne pas se fier aux apparences