Une équipe de 6 désamorçeurs de bombes, au lendemain de la guerre, dans les ruines de Berlin. Sur le principe des Dix petits nègres, ils disparaissent les uns après les autres. Aldrich est le réalisateur idoine pour un tel scénario (Fuller aurait aussi pu faire l'affaire). Il y a de la tension, des rivalités, un défi permanent avec la mort. Seul problème, trente minutes du film ont été coupées, le rendant bancal et insatisfaisant. La pause sentimentale avec une Martine Carol venue de nulle part n'était sans doute pas nécessaire. Jeff Chandler et Jack Palance, eux, assurent.

Cinephile-doux
6
Écrit par

Créée

le 31 juil. 2019

Critique lue 341 fois

1 j'aime

Cinéphile doux

Écrit par

Critique lue 341 fois

1

D'autres avis sur Tout près de Satan

Tout près de Satan
Cinephile-doux
6

Dix petits désamorçeurs

Une équipe de 6 désamorçeurs de bombes, au lendemain de la guerre, dans les ruines de Berlin. Sur le principe des Dix petits nègres, ils disparaissent les uns après les autres. Aldrich est le...

le 31 juil. 2019

1 j'aime

Tout près de Satan
Selenie
6

Critique de Tout près de Satan par Selenie

Si les six hommes nous sont présentés on constate vite qu'on n'apprend pas grand chose sur eux, le contexte pourtant évident avec causes et conséquences de la guerre est étonnament occulté pour...

le 5 déc. 2023

Tout près de Satan
YgorParizel
7

Critique de Tout près de Satan par Ygor Parizel

On remarque tout de suite dès la scène d'ouverture une certaine ambition en matière de réalisation, malgré une voix-off un peu ringarde. Le film raconte le travail de déminage d'une équipe de soldats...

le 8 juin 2020

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 27 mai 2022

76 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

73 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

70 j'aime

13