Un jeune garçon tyrannisé par ses parents a le malheur d’uriner dans son lit. Un jour, il découvre qu’en y plantant une graine, cela donne naissance à un cocon géant renfermant une grand-mère bienveillante, créant ainsi une échappatoire à la tyrannie familiale.
The Grandmother (1970) est l’un des tout premiers courts-métrages de David Lynch. Il avait la vingtaine et se lançait dans une réalisation complexe puisque ce film de 30min alterne prises de vues réelles, animation et stop-motion, sans le moindre dialogue (ou alors quelques brides indescriptibles).
Juste avant Eraserhead (1976), le cinéaste nous prouve ici ses grands talents de metteur en scène, entre imaginaire et réalité, rêves et cauchemars, on assiste ici à la naissance du réalisateur le plus surprenant et difficilement compréhensible d’Hollywood.
(critique rédigée en 2009, réactualisée en 2021)
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Créée
le 23 sept. 2021
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