Le pitch en une phrase : Alors qu'elle vient d'emménager dans une grande maison super lugubre avec son mari et ses deux enfants, Keira va devoir affronter le démon venu de la cave qui a capturé sa fille.
J'ai bien aimé : Quelle joie de retrouver Elisha Cuthbert, héroïne de 24h chrono (c'est la fille de Jack Bauer), La Maison de Cire ou The Girl next door et qui a contribué à mes premiers émois d'adolescents. Passée cette jolie surprise, The Cellar propose quelques scènes bien flippantes et originales, quand bien même le ressort horrifique du monstre de la cave est vu et revu.
J'ai moyen aimé : D'ailleurs, toute la trame de l'histoire est vue et revue. Un emménagement dans une immense maison pas chère, des bruits de plus en plus inquiétants, une enquête pour tenter de comprendre ce qui se passe, un climax final. Vraiment rien de neuf dans The Cellar mais ce conformisme peut toutefois être très confortable.
J'ai pas aimé : Encore une fois, le mari, qui vient de perdre sa fille également, ne croit pas sa femme ni même ne l'écoute, la considère sous le choc, perchée et hystérique, s'absente pour travailler tard le soir... Ce clivage d'un autre siècle ne rend au final service ni aux femmes, ni aux hommes. Cessez, s'il vous plait.
La conclu en une phrase : Sorti 15 ans trop tard, The Cellar fait du neuf avec du vieux mais propose toutefois un moment divertissant parsemé d'idées plutôt cool.