Dans un espèce de drame écologique (ou de prise de conscience écologique) à travers le personnage de Max qui a un projet d'urbanisme et créer un jardin sauvage et ouvert à tous afin de faire respirer la population urbaine. Alors que le sujet est revenu sur la table notamment dans la politique de la mairie de Paris, on ne peut pas dire que l'exploitation du sujet écologique dans Tant que le soleil frappe soit franchement réussie. Certes, ça nous fait réflechir sur l'adaptation de l'espace urbain aux sujets écologiques, mais le film ne prend pas de parti-pris et c'est bien dommage. Le personnage de Max, englué dans une vie monotone et d'un projet qu'il n'arrive pas à faire aboutir - malgré des nouvelles positives dans sa vie privée, n'a rien de très sympathique. Passable, à peine convaincant.