Des mannequins de cire endossant leurs rôles, au sens propre comme au figuré, au point d’être réduites à des silhouettes désarticulées, au fur et à mesure de leurs rencontres avec un boucher élégamment vêtu, dont le visage est masqué derrière un tissu innocent, telle est la recette qu’expérimente Mario Bava avec 6 femmes pour l’assassin. Après La fille qui en savait trop, il continue de poser les premières pierres du Giallo en trouvant pour l’occasion un équilibre subtil entre fond d’une... Lire l'avis à propos de Six femmes pour l'assassin