Trop caricatural, on a compris ce que tu voulais dire Paul hein. Ce qui était vendu comme un film avec différents niveaux de lecture n’est qu’en fait qu’un double sens fluoté, surligné pour qu’on capte bien la « subtilité » du discours. Le point sympa que je relève néanmoins est l’évolution de Robocop, qui passe d’un idéal américain de société à une représentation individuelle bien plus belliqueuse, avide de vengeance, de se faire justice soi même qui contraste et révèle une certaine dichotomie entre l’idée de liberté extrême ou le désir de l’individu prime sur le reste et l’idée d’un modèle de justice étatique qui veut régler tous les conflits possible pour maintenir la paix et la sécurité. Mais que ce soit le régime politique américain ou les habitants, on retrouve le même sentiment, la même sensation dans leur exécution, c’est la radicalité.