Cinquième volet d'une saga qui n'en finit plus de nous ébahir, Retribution ne partait pas sous les meilleurs auspices. Après un Resident Evil : Extinction qui prenait un tournant hallucinogène à base de super pouvoirs et de monde post-apocalyptique puis un Afterlife qui s'aventurait dans une science-fiction aux confins de l'invraisemblable, il s'agissait cette fois de faire s'effondrer toutes les limites du raisonnable. Compte tenu des deux opus précédents, aller encore plus loin relevait de... Lire la critique de Resident Evil : Retribution