Un film truffé de références à la culture geek (de toutes les époques, y compris celle où le mot était une insulte, alors qu'il est presque devenu un compliment de nos jours, où chacun/e en est devenu un/e), comme pour assoir la légitimité de son auteur, mais qui est moche la moitié du temps, sans doute parce qu'il fallait faire une différence nette entre les mondes réel et virtuel...
On notera que l'expérience de l'Oasis a déjà été tentée dans les années 2000 avec Second Life, qui est semble-t-il passé de mode, les gens ayant sans doute préféré copuler en vrai, quitte à devoir payer pour le faire (le "jeu" est gratuit, mais il a une monnaie virtuelle).
Mais à quoi bon de toute manière ne faire que des rêves agréables où tout (y compris nos réactions) est prévu à l'avance ?