un Frankenstein, lui même transformé par son pere, crée un monstre féminin...
Fable, conte, comme il vous plaira de l'appeler. Mais suffisamment flou pour que tout le monde y apporte ce dont il a envie ou besoin. De la critique du patriarcat, en passant par l'apologie du féminisme (un peu pareil oui) ou troll à crétin congénital, etc...
Pour ma part j'hésite encore entre la farce qui se moque du wokisme qui trouve révolutionnaire l'émancipation par la maison close, et l'abrutissement intellectuel qui nous entoure où les analyses excluent la lutte des classes et la religion dans l'explication des inégalités tant sexuelles que raciales.
Quoi qu'il en soit, ce qui compte ici c'est la forme plus que le fond, dans un film qui laisse au spectateur le choix de la signification de cette fable fantastique , pour ceux qui n'aiment pas le fantastique