Des yeux morts sans lunettes, une main en bois gantée de noir. Des dents blanches et un sourire carnassier. Une barbe bien taillée, un costume immaculé. Un cynisme exagéré et un profond désespoir. C'est l'irascible capitaine Fausto consolo que le jeune Ciccio, en tant que bidasse au ordres, est obligé d'accompagner jusqu'à Naples. Un long et étrange périple attend le jeune et ingénu Ciccio cet été-là. Une promenade Italienne qui prend la forme sinueuse d'un voyage initiatique. d'un passage... Lire la critique de Parfum de femme