6
L'innocence et la résistance
Premier film en solo de la cinéaste bulgare Binka Zhelyazkova. Une évocation de la résistance à Sofia, durant la seconde guerre mondiale, à travers un petit groupe de jeunes gens. Innocence,...
le 22 juin 2022
L'innocence et la résistance
Premier film en solo de la cinéaste bulgare Binka Zhelyazkova. Une évocation de la résistance à Sofia, durant la seconde guerre mondiale, à travers un petit groupe de jeunes gens. Innocence, engagement et amours dans un lyrisme contenu qui rappelle les films de Wajda de l'époque. Plus que son intrigue, c'est le style de la réalisatrice qui impressionne, à la manière d'un Kalatozov. Avec aussi des personnages profonds et touchants, dont une jeune photographe handicapée, lumière parmi ces temps obscurs.
6
Écrit par
Créée
le 22 juin 2022
Critique lue 146 fois
D'autres avis sur Nous étions jeunes
8
Critique de Nous étions jeunes par JM2LA
(En salle) Film à l'unisson de la vague du dégel soviétique, de son lyrisme parfois débordant mais qui sait aussi être inspiré (Kalatazov) et raconter du point de vue d'un œil sensible et dégagé de...
Par
le 24 nov. 2019
Du même critique
9
La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 27 mai 2022
75 j'aime
4
8
Triste et célèbre
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
73 j'aime
5
8
Du genre masculin
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
70 j'aime
13
