C'est du Wong Jing et ça se sent. City Hunter, c'est un peu du tout et du n'importe quoi, tout mélangé, comme Wong Jing a l'habitude d'en faire. On passe donc de l'histoire principale (celle de Nicky Larson), à une parodie de Streetfighter (scène devenue culte d'ailleurs), puis à un hommage au Game Of Death de Robert Clouse avec Bruce Lee, sans oublier des scènes de gambling, comme on a l'habitude d'en voir chez Wong Jing. Mais une fois le film fini, on se rend compte que tout ça s'est bien... Lire la critique de Niki Larson