Oliver Stone n'a jamais été cinéaste à faire dans la subtilité, c'est un fait avéré. Le bonhomme défonce des portes déjà entrouvertes avec la subtilité d'un troll des cavernes, écrasant l'innocent portier au passage. Pourtant, je préfère mille fois cet Oliver là que celui d'aujourd'hui, celui qui baisse son froc en nous pondant des atrocités telles que "World Trade Center" ou "Wall Street 2". Pour mon plus grand plaisir, "Né un quatre juillet", derrière sa nature de film à Oscars, fait partie... Lire la critique de Né un 4 juillet