Dans le premier Mad Max, Mel perdait sa femme et son enfant. Dans le deuxième, il perd son chien et sa voiture. C'est dire la montée en intensité dramatique...

En fait, le récit n'est qu'anecdotique. On s'en fout un peu de comment va se terminer le siège de la station-sévices. Les dialogues, rarissimes, sont mauvais. Mais pas autant que la horde de méchants pilleurs, tout de queer vêtus, ou carrément cul nu... Mel, beau comme un diable, sauve tout.

En fait, le mieux dans Mad Max 2, c'est qu'il fait travailler l'imagination. Les non-dits du film permettent de rêver un autre film post-apocalyptique dans ces décors désolés. Faute d'avoir eu un vrai Fallout 3...

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le 28 oct. 2010

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Marius

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