6
Diesel & Dust
Mad Max, c’est un genre qui s’assume totalement, se déploie et explose dans une longue et puissante décharge. Sur un scénario qui ne s’embarrasse pas d’originalité, Miller propose un western punk...
le 21 nov. 2013
90 j'aime
6
Mad Max pour moi c'était LE monde post-apocalyptique. Ces transgressions, ces quêtes pour assouvir le moindre besoin primaire. En deux mots, c'était "Bitume", le mythique RPG de Croc.
En réalité, Mad Max, ce sont trois pauvres motards crypto-gay qui foutent la merde dans le bush australien pendant une heure. Et Mel Gibson avec une tronche de poupon et un shotgun.
Parce qu'il faut attendre une heure avant que l'histoire ne débute. Une vengeance à base de gros cube qui vrombissent. Attendons de jeter un oeil neuf au second, mais pour l'instant je suis un peu dég'...
[PS: Pour rajouter au cheap, je soupçonne la prod d'avoir tout redoublé en postprod tellement le son est dégueu et les voix/sons semblent assez peu raccord...]
En réalité, Mad Max, ce sont trois pauvres motards crypto-gay qui foutent la merde dans le bush australien pendant une heure. Et Mel Gibson avec une tronche de poupon et un shotgun.
Parce qu'il faut attendre une heure avant que l'histoire ne débute. Une vengeance à base de gros cube qui vrombissent. Attendons de jeter un oeil neuf au second, mais pour l'instant je suis un peu dég'...
[PS: Pour rajouter au cheap, je soupçonne la prod d'avoir tout redoublé en postprod tellement le son est dégueu et les voix/sons semblent assez peu raccord...]
6
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les westerns qui ne sont pas des westerns
Créée
le 4 nov. 2010
Critique lue 1.1K fois
26 j'aime
16 commentaires
D'autres avis sur Mad Max
7
Maximum Overdrive
[SanFelice révise ses classiques, volume 9 : http://www.senscritique.com/liste/San_Felice_revise_ses_classiques/504379 ] Du premier épisode de la trilogie Mad Max, je ne gardais strictement aucun...
Par
le 23 juil. 2014
84 j'aime
4
8
Anarchie Road
La séquence d'ouverture donne déjà le ton, Mad Max sera furieux et fou, à l'image de l'homme traquée dans cette scène, et fera naître une légende, que George Miller iconise dès cette première...
le 2 août 2014
77 j'aime
21
Du même critique
4
Bane à ordures
Jusqu'alors DKR signifiait, pour le geek averti, Dark Knight Returns. Une oeuvre majeure dans la bibliothèque de Batman. Quelque chose d'adulte et de complexe. Tout ce que n'est pas TDKR. Qui n'est...
Par
le 19 juil. 2012
121 j'aime
130
1
La blague américaine
En terrain conquis. Le mec de "la Classe américaine" à Cannes? Ça clignotait de partout: ce film est fait pour moi. 5h34 plus tard (en réalité, le film est un poil moins long), j'avais l'impression...
Par
le 15 mai 2011
106 j'aime
66
10
Melancholia and the infinite sadness
Bon, Lars von Hitler à 8 heures du mat, c'était pas gagné (qu'est-ce qu'on ferait pas pour voir des films danois avant les autres)... Mais se réveiller devant un astre sombre, sombrer avec ces jeunes...
Par
le 18 mai 2011
105 j'aime
23
