Quatrième opus des Comédies et proverbes, Les nuits de la pleine lune est la première incursion de Rohmer sur le thème de la ville nouvelle – avant L’ami de mon amie qui en sera une sorte de manifeste utopique et sublime. Une incursion véritable puisque le film s’ouvre sur le lent panoramique silencieux d’un espace résidentiel délivrant un chantier indomptable à l’infini pour se resserrer sur des habitations neuves et modernes, de les cadrer dans toute leur beauté batarde, bâtiments... Lire la critique de Les Nuits de la pleine lune