L'humour de caserne de l'entre-deux-guerres ne me asticote pas trop les zygomatiques. Dire que cela a eu un gros succès jusqu'à quasiment produire un genre : le film de bidasses. On a connu la même tendance dans les années 70-80 en France avec également une belle floppée de navets à rires gras et patauds. A l'époque des gaietés, le rire l'est moins... gras, mais fonctionne sur les mêmes modalités, les batailles intra-hiérarchique dans le bataillon. Fatigant à la longue.
Alligator
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le 21 nov. 2012

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