Il faut attendre la moitié du film pour que la touche Mario Bava se fasse ressentir. Bien malin celui qui pourra associer Chiens enragés à son metteur en scène pendant la première demi-heure tant elle est loin du cinoche baroque du maître de l’horreur à l’italienne. Voir le bougre mettre les pieds dans le poliziesco pour composer avec ce que le genre a de plus scabreux, au moyen d’une ultra-violence qui s’annonce dès les premières minutes, c’est relativement inattendu. Mais c’est... Lire l'avis à propos de Les Chiens enragés