Nombreux sont les films des années 50, américains, français, japonais, qui ont pris pour thème la délinquance juvénile. Le printemps a manqué son pas (The Boy who came back, pour son titre américain) est dans le genre plutôt édifiant, avec une jeune femme ange gardienne qui veille sur un mauvais garçon dont le retour dans le droit chemin semble bien problématique. Un scénario sans trop de surprises à l'horizon mais qui débouche sur un film de jeunesse intéressant de Seijun Suzuki, particulièrement à l'aise dans les scènes violentes et un peu moins dans les instants doux, quand même un peu mièvres.

Cinephile-doux
6
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Cinéma japonais des années 50

Créée

le 28 juil. 2023

Critique lue 8 fois

2 j'aime

Cinéphile doux

Écrit par

Critique lue 8 fois

2

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 27 mai 2022

76 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

74 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

70 j'aime

13