Nous rencontrons des problèmes techniques sur la partie musique du site. Nous faisons de notre possible pour corriger le souci au plus vite.

Un narratif à tiroirs, délicieusement acidulé et franchement très drôle

Benjamin Lavernhe, toujours aussi irrésistible (cf. son rôle dans Mon inconnue de Hugo Gélin).

Le procédé narratif me rappelle quelquefois celui utilisé dans "le Fabuleux destin d'Amélie Poulain" de Jean-Pierre Jeunet où l'on ouvre les petits tiroirs des existences.

Ou bien l'exploration des scénarios possibles d'un Smoking, No smoking (Alain Resnais).

Pas lu le roman, mais cette adaptation cinématographique de Laurent Tirard est vraiment une pépite !

CLB1910
9
Écrit par

Créée

le 10 mars 2024

Critique lue 5 fois

CLB1910

Écrit par

Critique lue 5 fois

D'autres avis sur Le Discours

Le Discours
D-Styx
9

Le Dîner de Cons !

Bizarrement, ce n’est pas avec Zaï zaï zaï zaï que j’ai découvert Fabcaro, mais avec ce film, Le Discours, de Laurent Tirard. Bien sûr, j’avais entendu parler de cette BD absurdo-comique devenue...

le 14 janv. 2021

19 j'aime

Le Discours
EricDebarnot
5

Famille, je vous hais...

J'ai eu la chance (?) d'être ado au début des seventies, à une époque où il était communément admis que la famille était l'incarnation absolue de l'horreur. On était pourtant à une époque où...

le 19 juin 2021

17 j'aime

6

Le Discours
Cinephile-doux
7

La famille, l'amour, et autres contrariétés

Il existe un certain consensus sur la question : la réussite d'une comédie tient en grande partie à son rythme comme l'ont démontré Feydeau, Lubitsch ou Rappeneau, par exemple. L'adaptation du livre...

le 2 juin 2021

15 j'aime

4

Du même critique

Le Discours
CLB1910
9

Un narratif à tiroirs, délicieusement acidulé et franchement très drôle

Benjamin Lavernhe, toujours aussi irrésistible (cf. son rôle dans Mon inconnue de Hugo Gélin).Le procédé narratif me rappelle quelquefois celui utilisé dans "le Fabuleux destin d'Amélie Poulain" de...

le 10 mars 2024

La Constellation du chien
CLB1910
8

Pourquoi je me suis fait dezingué par Peter Heller...

Beaucoup d'épithètes peuvent qualifier cette oeuvre : haletant, immersif, oppressant...Et il est vrai que c'est assez vertigineux de se retrouver dans la peau et les sentiments d'un des derniers...

le 11 mars 2024