La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 27 mai 2022
76 j'aime
4
A ses débuts, en à peine plus de 2 ans, Seijun Suzuki tourne pas moins de 10 films, des Séries B nerveuses (pléonasme), très inspirées du cinéma américain. L'histoire de La voix sans ombre, avec son journaliste plus finaud que la police, n'est pas d'une originalité folle, mais ce n'est pas tant cela qui compte que la manière avec laquelle le cinéaste emballe son récit, tout en angles rugueux et en électricité. La psychologie des personnages reste à quai et c'est assez dommage, concernant son héroïne, vite reléguée à la passivité et tributaire du dynamisme et de l'intelligence du reporter, qui en a pincé pour elle dans le passé. Et dont le zèle suppose que ses sentiments n'ont pas trop évolué.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Cinéma japonais des années 50
Créée
le 20 mai 2023
Critique lue 2 fois
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 27 mai 2022
76 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
76 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
70 j'aime
13