Le match est terminé. La lourde ceinture sur la taille et les poings levés, la victoire se célèbre et les flashs crépitent. Là où les ellipses interviennent ou le générique de fin fige l'écran, la caméra s'attarde dans le vestiaire sur le sang qui souille les serviettes d'une blancheur virginale, des blessures profondes zébrant le visage de Jake Gyllenhaal entre les mains de son épouse. La douleur irradie encore son corps martyrisé, roué de coups. Ses gestes sont lents et lourds. Chacun... Lire la critique de La Rage au ventre