Eugénie tombe malade. Daudin étrenne en mitonnant des repas à sa dulcinée.
Je n’ai pas compris l’objectif du métrage si ce n’est énoncer une myriade de mets aux appellations hautement pédantesques telles potage au xérès sec, purée soubine ou encore consommé à la moelle d’esturgeon ; ou bien peut-être un but féministe qui montre prosaïquement des hommes cuisiner pendant deux heures et quart. De plus, il n’y a aucun enjeu seulement une aspiration ornementale de la gastronomie. Néanmoins, il est cocasse qu’Eugénie ne veut pas être « sa femme » mais sa cuisinière.