L'Antéchrist de la Cinématographie
Alors, on m'envoie regarder ce film, et tout ce que je peux dire, c'est que même Satan lui-même pourrait en demander un remboursement. L'histoire, c'est comme si quelqu'un avait jeté "L'Omen" original dans un mixeur, y avait ajouté un soupçon de Tinder pour un peu de modernité, et avait pressé le bouton "médiocrité".
Un Diable de Remake
On nous refourgue cette bouse sous forme de remake, comme si l'original n'avait pas été déjà assez cataclysmique. Le réalisateur a dû penser que le public avait perdu suffisamment de cellules cérébrales depuis 1976 pour ne pas reconnaître un fiasco recyclé. C'est comme réchauffer des restes de la veille et espérer que ça ait le goût du caviar.
La Malédiction de l'Ennui
Le film commence plutôt pas mal, mais c'est comme une relation qui démarre bien puis devient ennuyeuse dès que tu commences à discuter des impôts. Ça part en vrille plus vite que Flash dès qu'il a oublié d'enfiler ses bottes. Tu te retrouves à scruter l'écran en espérant qu'il se passe quelque chose d'excitant, comme une invasion de zombies ou une rencontre surprise avec Pikachu.
Jump Scare, ou l'Art de Foutre la Trouille
Ah, les fameux jump scares. Comme des prouts dans un ascenseur, ils te prennent par surprise et te laissent un peu secoué. Mais bon sang, si j'avais voulu des sursauts à répétition, j'aurais regardé des vidéos de chats qui sautent hors de boîtes en carton. On en abuse tellement dans les films d'horreur aujourd'hui que ça devient aussi prévisible qu'une attaque de gobelins dans un donjon de JDR.
Des Acteurs qui Méritent une Médaille
Liev Schreiber, Julia Stiles, et Mia Farrow méritent des Oscars pour avoir réussi à garder un visage sérieux pendant tout ce foutoir. Sérieusement, c'est comme jouer au poker avec des cartes marquées et un joker en feu. Mais Seamus Davey-Fitzpatrick, je dois dire, avec son regard de caméra à la fin, il a réussi à me faire plus flipper que lorsque ma mère me chopait en train de regarder des films interdits quand j'étais gamin.
Conclusion
Alors voilà, "666 La Malédiction", c'est comme une pizza froide après une nuit de beuverie : ça passe, mais ça reste quand même de la merde. Si t'as déjà vu l'original, évite cette version comme la peste bubonique. Si tu veux te taper un bon film d'horreur, cherche ailleurs. Et si jamais tu te retrouves devant ce film par accident, j'espère que t'as une bouteille de vodka à portée de main, parce que tu vas en avoir besoin.
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