On aurait beau fouiller on ne trouverait pas beaucoup de défauts dans cette œuvre tout en finesse du début à la fin. Et quelle fin ! Un déchirement en même temps qu’un aboutissement. Et ces quelques vers de Wordsworth qui résument l’essence même du récit (bien plus que le pauvre titre français) sont bouleversants tant ils collent parfaitement au dénouement qui frôle le sublime.
Outre Beatty et Wood, géniaux, je signale quand même la performance de Pat Hingle, le père insupportable de Bud, tout à fait remarquable dans un rôle peu facile.
On ne peut omettre les délicates relations parents-enfants qui sont ici très prégnantes et finement exploitées par Kazan.

nodeven
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le 22 juin 2023

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nodeven

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