Wes Craven à la source
Wes Craven plante sa caméra dans une Amérique rurale plutôt inquiétante. Jim et Martha, exploitants agricoles, vivent à côté d’une communauté religieuse observant des rites d’un autre temps...
le 18 nov. 2019
6 j'aime
Après le décès mystérieux d’un homme, les soupçons se portent sur une société religieuse : les Hittites.
Au milieu de ces scènes longuettes, il y en a une bouffie de tension, celle avec l’essence et la voiture. Le doublage français itère à l’envi le terme « incube » jusqu’à l’overdose. Je serai à jamais horrifié par la mygale tombant dans la bouche grande ouverte de Sharon Stone. Néanmoins, le film ne possède aucunement un défaut assez rédhibitoire pour altérer notre visionnage et on a droit à un pamphlet sagace de ces communautés où la consanguinité afflue allègrement.
Créée
le 8 juil. 2023
Critique lue 31 fois
2 j'aime
D'autres avis sur La Ferme de la terreur
Wes Craven plante sa caméra dans une Amérique rurale plutôt inquiétante. Jim et Martha, exploitants agricoles, vivent à côté d’une communauté religieuse observant des rites d’un autre temps...
le 18 nov. 2019
6 j'aime
Si Wes Craven a réalisé quelques très bons film et tout autant de très mauvais, dans un soucis d'équilibre qui l'honore il a aussi mis en scène pas mal de petits films moyens et sans grandes...
Par
le 19 déc. 2020
5 j'aime
3
Le début de La Ferme de la terreur est assez prenant car Craven nous offre un climat étrange qui nous intrigue malheureusement la mise en scène s'égare au bout d'une demi-heure et le suspense peine à...
Par
le 17 avr. 2016
3 j'aime
Du même critique
Le film est farouchement et profondément féministe mais quoi de plus normal pour un métrage dédié à une femme extraordinaire qui a permis que l’un des droits les plus élémentaires pour elles, même si...
Par
le 24 nov. 2022
33 j'aime
3
Treize ans de longues années d’attente patiente pour un résultat aussi famélique. Commençons par la fameuse 3D, je me souviens d’un temps où les lunettes 3D étaient devenues un outil indispensable...
Par
le 16 déc. 2022
26 j'aime
Les choses humaines place les protagonistes tout comme le spectateur face à leurs paradoxes. Captivant, le but est de faire entendre toutes les versions. Et avec elles, l’insatiabilité de ne pas...
Par
le 24 avr. 2022
13 j'aime