Kansas, dans les années 30, Moses Pray, escroc à la petite semaine, assiste à l’enterrement d’une ex-maîtresse et accepte d’emmener sa prétendue fille de 9 ans, Addie, chez une tante. Pendant leur trajet, leurs rapports sont tendus. L’orpheline est persuadée que celui-ci est son père, en raison de...
Match des critiques les meilleurs avis La Barbe à papa
VS
Arnaquer pour survivre, aimer pour vivre
Venant simplement à l’enterrement d’une ancienne amie, Moses ne pensait pas repartir avec Addie, la fille de celle-ci. Cherchant vainement à s’en débarrasser, il accepte à contrecœur d’accompagner la jeune fille chez sa tante vivant dans le Missouri. Addie, quant à elle, est persuadée que Moses est son père car « ils ont le même menton ». Moses est un escroc à la petite semaine, vendant sans vergogne des bibles à des veuves éplorées. Addie, avec sa bouille d’ange, se révèle être une alliée...
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La barbe,Papa.
Avant Barry Lyndon et après Love Story,Ryan O' Neal a tourné la Barbe à Papa avec sa fille Tatum. La curiosité de ce film de 1973, c'est sa touche noir et blanc et son sujet (comment deux âmes délaissées par le rêve américain finissent par former un tandem de choc). Deux raisons qui donnaient envie de voir le film de Peter Bogdanovitch.Au début, la rencontre entre le représentant véreux et la petite fille orpheline interpelle et leurs échanges discordants sont assez savoureux. Du moment que...
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Critiques : avis d'internautes (25)
La Barbe à papa
Tri :
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positives
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plus récentes
Le voyage dans la lune
Sur le canevas classique du road movie, Peter Bogdanovich brode une fable délicieusement surannée.
Parfaitement assumé et réalisé, le noir et blanc se fait émissaire d’une époque révolue, difficile mais attachante, terrain de jeu privilégié de Moses, anti-héros atypique. Plus qu’un banal exercice esthétique, ce choix est dicté par la volonté affirmée du réalisateur d’entraîner son public à...
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Addie dans le rétro
(Série "Dans le top 10 de mes éclaireurs" : Cultural Mind)
La première surprise de cette pépite bien trop méconnue est son choix esthétique : réaliser en 1973 un film en noir et blanc se situant durant la grande dépression a quelque chose de délicieusement anachronique, en totale adéquation avec le sujet. Le duo forcé entre un escroc, Moses, et la jeune fille de 9 ans d’une ancienne conquête...
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Une tragi-comédie douce-amère de choix !
« La Barbe à Papa » fait partie de ces belles surprises de cinéma qui m'enchanteront toujours et qui prouvent combien cet art est précieux. Diffusé récemment sur Arte, j'hésitais à le regarder, le résumé comme l'affiche ne payant pas de mine. Mais devant certaines critiques laudatives (au premier rang desquelles
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To Moze from Addie
S’ouvrant sur la chanson It’s only a Paper Moon, La Barbe à Papa débute avec une scène d’enterrement remarquable et donnant tout de suite le ton du film, où l’on va suivre un petit escroc qui va se retrouver, par un concours de circonstance, sur les routes avec une jeune fille.
Peter Bogdanovich fait preuve...
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Tatum O’Neal dans sa plus tendre engeance
D’abord, la crainte. « Elle ne voudra pas de moi. »
Quand Moses Pray quitte l’enterrement de son ancienne maîtresse, il est chargé d’accompagner Addie, neuf ans, chez une tante depuis longtemps perdue de vue. Les liens du sang induisent-ils par nature des rapports d’affection et d’entraide ? La fillette en doute et semble tout sauf ravie à l’idée d’échouer dans un foyer inconnu du Missouri....
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