Ce film divise et ce film me divise aussi même après revisionage, je dirais surtout pour ce sentiment d'attraction-répulsion constant. Au delà de la recherche du sordide, du subversif volontaire, de l'atmosphère noire presque avilissante et de la mise en scène baroque à la Zulawski, s'il y a bien quelques choses qui restent et qu'on pourrait aimer, ce sont les sublimes compositions de Delerue empruntant à Wagner, pour accompagner tout en sublimant ce qui est peut être LA scène... Lire la critique de L'Important c'est d'aimer