Comédie plutôt lente et poussive de pourtant un très grand réalisateur Julien Duvivier. Mais Fernandel est fatigué, Duvivier aussi et tout le monde s'endort par instants.
Alligator
5
Écrit par

Créée

le 23 nov. 2012

Critique lue 137 fois

1 commentaire

Alligator

Écrit par

Critique lue 137 fois

1

D'autres avis sur L'Homme à l'imperméable

L'Homme à l'imperméable
JeanG55
6

La clarinette, c'est pas du pipeau

"L'homme à l'imperméable" est un film de Duvivier tourné en 1957 et se situe entre des œuvres majeures du cinéaste à savoir "le temps des assassins" et "Marie-Octobre". Le scénario est tiré d'un...

le 10 oct. 2021

8 j'aime

5

L'Homme à l'imperméable
Val_Cancun
6

Tirez sur le clarinettiste

Pour sa quatrième collaboration avec Fernandel (il y en aura même une cinquième), Julien Duvivier décide d'adapter une nouvelle de James Hadley Chase, en collaboration avec son scénariste René...

le 13 oct. 2019

7 j'aime

L'Homme à l'imperméable
greenwich
7

L'homme à l'imperméable (1957)

Il s'agit d'une comédie noire filmée en noir et blanc. L'intrigue est intéressante avec son lot de péripéties. Albert Constantin est clarinettiste au théâtre du Châtelet. Alors que son épouse part...

le 3 avr. 2016

3 j'aime

Du même critique

The Handmaid's Tale : La Servante écarlate
Alligator
5

Critique de The Handmaid's Tale : La Servante écarlate par Alligator

Très excité par le sujet et intrigué par le succès aux Emmy Awards, j’avais hâte de découvrir cette série. Malheureusement, je suis très déçu par la mise en scène et par la scénarisation. Assez...

le 22 nov. 2017

54 j'aime

16

Holy Motors
Alligator
3

Critique de Holy Motors par Alligator

août 2012: "Holly motors fuck!", ai-je envie de dire en sortant de la salle. Curieux : quand j'en suis sorti j'ai trouvé la rue dans la pénombre, sans un seul lampadaire réconfortant, un peu comme...

le 20 avr. 2013

53 j'aime

16

Sharp Objects
Alligator
9

Critique de Sharp Objects par Alligator

En règle générale, les œuvres se nourrissant ou bâtissant toute leur démonstration sur le pathos, l’enlisement, la plainte gémissante des protagonistes me les brisent menues. Il faut un sacré talent...

le 4 sept. 2018

50 j'aime