Alors, qu'en ce moment, on préfère disserter de ( sa résurrection ? ) son Western dans les champs de coton, moi, j'ai revu "Jackie Brown".
Tarantino adapte le Grand Elmore Leonard qui, du Western ( L'Homme de l'Arizona, Hombre ) en passant par le Polar ( Mister Majestyk, La Guerre des Bootleggers ) aura inspiré le Septième Art de ses histoires de petits malfrats et de leurs destins qui...
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Foxy lady.
Encore sous le choc de la Palme d'or 1994, les fans de Quentin Tarantino avaient accueilli froidement son nouvel opus (moi le premier), cherchant vainement une folie furieuse, un style percutant, une ultra-violence stylisée qu'ils ne trouveront pas dans une oeuvre où ces éléments n'ont tout simplement pas leur place, mais proposant bien d'autres choses, tout aussi précieuses.
Adaptant l'univers...
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Le Crépuscule des gangsters
Je pourrais disserter des heures pour témoigner de mon admiration pour ce film, et vous convaincre que Jackie Brown est le plus beau film de Tarantino, le plus personnel (!?), et le plus touchant des films de gangsters.
Un film tendre, romantique, où les mafieux qui glandent sur la banquette, passent leur temps à matter à la télé des nanas bodybuildées sous stéroïdes, et armées jusqu'aux dents,...
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Foxy Lady
Dans le livret de l'album "In Utero" de Nirvana,on y trouve parmi les remerciements le nom de Quentin Tarantino. On sait également que le réalisateur a pensé à Kurt Cobain et Courtney Love pour jouer dans la scène d'introduction de Pulp Fiction. Chacun d'entre eux ont marqués de leur empreinte les années 90. Et si Pulp Fiction est le "Nevermind" de Tarantino (même impact ,recyclage et...
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Une femme soul influence
Coincé entre la virtuosité narrative de Pulp Fiction et l’incandescence visuelle des Kill Bill, Jackie Brown pourrait être considéré comme une parenthèse...
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Black is beautiful
Au moment de réaliser son troisième long-métrage, Quentin Tarantino, promu nouveau wonder boy du cinéma américain par Reservoir Dogs et Pulp Fiction, s’avoue comme fatigué d’être lui-même. Il s’imagine en Kubilai...
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Les abrutis et la fine mouche
Un des rares films de Tarantino ou on a une intrigue construite. L'histoire se développe autour des mensonges, faux-semblants et jeux de dupes. Chacun manipule les autres à sa manière.
Qui sera le plus malin? ou le moins con?
La survie est à ce prix, car chez Tarantino la violence sauvage est incontournable de même que certaines figures de style, comme la scène filmée plusieurs fois...
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Apogée
Dialogues et musiques cultes. Des morceaux qui tombent au bon moment.
Une introduction musicale bien menée.
Choisir ces armes à la télévision comme on regarde un télé-achat est original, pour montrer des filles en bikini manier des gros calibres.
Un jeu d'acteurs d'anthologie.
Un Code vestimentaire au top, avec des couvre-chefs comme on aimerait avoir. Des...
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Pas si ton ambition c'est de t'éclater devant la télévision.
Le film de Tarentino le plus "classique". C'est loin d'être le plus déjanté, le plus violent, le plus bavard, le plus drôle, le plus cynique de sa filmographie et pourtant cela reste mon préféré.
5 raisons d'adorer ce film:
1) Pour le duo Pam Grier -Robert ou comment Tarentino par son amour des acteurs à réussi à donner à deux acteurs cultes mais has been le rôle de leur vie. C'est une belle...
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5 bonnes raisons de dire oui.
Ça fait dix-huit ans (ou plutôt un peu moins, trois ans de moins) que je vois la tête de Pam Grier braquant son gun sur moi dans un rayon de la vidéothèque -puis dvd-thèque- chez moi… et douze ans que je peux lire ce doux nom sur la tranche de la vidéo (ou du dvd maintenant, on s'en fout); Jackie Brown.
Ça fait aussi à peu près six ans que je refuse de voir un Tarantino, moi jeune sensible à la...
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