Sexe buissonnier
Curieux, comment ne pas l'être, du nouveau long-métrage de Caroline Vignal après Antoinette dans les Cévennes. C'est toujours avec Laure Calamy, dans Iris et les hommes, mais sans ongulé, cette fois...
le 23 août 2023
13 j'aime
2
On y va pour Laure Calamy et cela s'arrête là. On aime ses moments de folie, ses expressions et son naturel. L'histoire quand à elle n'a rien de bien suprenante ni d'originale. La tromperie dans un couple.
Les 4 points sont pour les quelques bons moments de rire car oui, il y'en a malgré tout mais pour le reste le film s'étire, s'étire...
1h30 mais qui en parait 2h. Les plans séquences semblent parfois interminables
Créée
le 12 janv. 2024
Critique lue 10 fois
1 commentaire
D'autres avis sur Iris et les hommes
Curieux, comment ne pas l'être, du nouveau long-métrage de Caroline Vignal après Antoinette dans les Cévennes. C'est toujours avec Laure Calamy, dans Iris et les hommes, mais sans ongulé, cette fois...
le 23 août 2023
13 j'aime
2
Misère…J’avais séché Antoinette dans les Cévennes il y a trois ans, mais tout le monde en ayant dit le plus grand bien, j’ai fini par me dire que j’avais peut-être loupé un truc tout compte fait, et...
le 3 janv. 2024
7 j'aime
5
Le duo Vignal Calamy scène une acte deux pour un résultat vaguement rigolo mais toujours aussi quelconque et à la limite de la condescendance envers la classe populaire/racisee (et cette fâcheuse...
le 7 janv. 2024
4 j'aime
1
Du même critique
La mise en lumière d'un métier trop peu souvent mis en avant dans les films: les ambulanciers. Coup de projecteur sur ceux de New York. JS Sauvaire réalise un long métrage à la limite du...
Par
le 20 mai 2023
5 j'aime
Le film est un bijoux.Sur l'histoire: Alors oui, c'est simple. Très similaire au premier. Mais ça fonctionne. Les scènes de batailles sont troublantes de réalisme. À mi chemin entre animation et...
Par
le 20 déc. 2022
2 j'aime
1
Rien que le nom Eiffel devait annoncer quelque chose de grand, un mastodonte. Résultat, un film qui donne l'impression d'avoir été survolé, comme la Tour sur Paris. L'essentiel du récit (80%) parle...
Par
le 17 oct. 2021
2 j'aime