De Keisuke Yoshida, je n’avais vu que Raw Summer, pinku eiga dispensable uniquement maté pour les beaux yeux de Sora Aoi (et pas que pour les yeux d’ailleurs), avant d’avoir visionné Himeanole pour lequel, à la lecture de la critique écrite, je m’aperçois que je n’en ai plus aucun souvenir !Du coup, seize ans plus tard, surprise de tomber sur ce Intolerance dont voici en... Lire la critique de Intolerance